mercredi 30 avril 2008

Maître Ebety : Prix du meilleur de lecteur de Lakhbaar Tebgue Vi Dar.


Lakhbaar Tebgue Vi Dar vient de décerner le prix du meilleur lecteur à l’avocat de la périphérie de Boutilimit, monsieur Brahim Ould Ebety, tristement célèbre pour ses bobards à la barre.
Félicitations, Maître Ebety, continuez à nous lire pour meubler votre temps.
Puisqu’il n’y a plus d’affaires de lekwar ni de leabid à vendre, et à part la charité que vous recevez de la BMCI, personne ne vous fait plus confiance.
Au fait avez-vous entendu parler du forgeron de Leabar (Maalem leabar) qui passe tout son temps à réparer les ustensiles des autres et ignore les siens. Il n’est pas exclu donc qu’un jour certains de vos clients vous appelleront à la barre pour rembourser les frais de services non rendus.
Il parait aussi que Fatimata M’Baye n’a plus votre temps. Eh oui, c’est la loi de l’évolution parce que maître Ebety se complait toujours dans les mêmes bobards et la stagnation.
On comprend maintenant pourquoi vous êtes un lecteur assidu de Lakhbaar Tebgue Vi Dar parce que vous passez toute la journée à vous "casser les doigts".
Quand on est de la périphérie de Lahwach, on est initié à la lecture. Lisez-nous toujours pour vous faire découvrir. Nous réfléchissons déjà sur les origines oh combien complexes et compliques de Ebety.

mardi 29 avril 2008

Hôtel El Khater : Une affaire bizarre

Depuis le coup d’Etat contre Maaouya le 03 Août 2005, l’hôtel El Khater est devenu l’unique bénéficiaire des marchés de l’Etat. Tous les dîners, déjeuners, conférences de presse et autres sont organisés à l’hôtel El Khater, comme si il n’y avait pas d’autres à Nouakchott. Où est donc la transparence dans la passation des marchés ? Pourquoi n’associe-t-on pas les autres hôtels qui sont pourtant plus chics et moins chers que El Khater ?
Madame Ghalla paie-t-elle des commissions ? A qui et quels genres de commissions ?
Le dernier marché de Ghalla est le grand dîner offert par Miske à la presse, une façon de faire taire les journalistes affamés en les faisant manger du khater. Qui a payé la facture ? C’est bien sûr la présidence et non monsieur Miske, le parigot harpagon.
Nous avons maintenant une antenne à l’hôtel El Khater pour mieux voir qui est derrière ce monopole.
A suivre

Wali de Nouakchott : La métamorphose du faux Moulaye Zeine

L’homme est né gueblet lebhar d’un père Gounani, et il n’a rien à avoir avec les Moulaye Zeine originaux. C’est un Moulaye Zeine arrivage.
Il était une fois un homme gentil, poli, courtois, disponible, modeste et généreux. On pouvait donc accepter que c’est Mohamed Lemine Ould Moulaye Zeine, sans commentaire.
Mais cet homme là, n’existe plus. C’est de l’histoire maintenant.
Depuis que Sidioca l’a nommé wali de Nouakchott, il est devenu un individu peu fréquentable et passe tout son temps à chasser les pauvres et à courir les jupons et mêmes les pantalons.
Il est devenu arrogant et s’est assigné comme mission, perdue d’avance, de faire la chasse aux kebbas et gazras.
Le gounani est devenu donc un spécialiste du détournement des gazras des pauvres gens qu’il fait déguerpir pour se faire attribuer leurs places avec la connivence d’un certain Mohamed El Moctar, conseiller du ministre de l’Equipement et actuellement chargé du déplacement de la gazra d’Arafat comme opération pilote. Le wali fait déplacer tout le monde sauf les femmes de mœurs.
Soubhana Allah, quand Dieu veut métamorphoser les individus !

lundi 28 avril 2008

Partage tribal et ethnique du pouvoir : (suite)

Ould Teguedi, ministre de la Justice, à ne pas confondre avec Teguedi d’Israël.


Ould Teguedi, ministre de la Justice, à ne pas confondre avec Teguedi d’Israël.
Au niveau gouvernemental, Limam Ould Teguedi boucle la colonisation du gouvernement par les gens du fleuve. C’est vraiment le nullard des nullards du gouvernement qui fait honte à la justice.
Ce n’est pas pour rien, en effet, que tous les procès et affaires se terminent toujours aujourd’hui, en queue de poisson.
Ould Teguedi a beaucoup désappris le droit du temps où il était secrétaire général de l’Assemblée nationale.
Les Lemtouna n’existent plus et Mongeul est déjà surreprésentée par Ehel Teiss.
Ould Teguedi représente qui donc ? Sa sœur, la maîtresse sénateur peut être.

Nb : A ne pas confondre ici les Teguedi de Monguel avec ceux d’Israël.

Décidément Sidioca n’écoute que les conseils du vieil homme Baro Abdoulaye au crépuscule de l’âge.

En effet, dans la part qui lui revient du gouvernement, après zinzin et Messaoud, Sidioca n’a regardé que vers deux directions : le fleuve et Niamey où il a pris tous ses copains d’exil (Amajar, Khalil Ould Enahoui, Mohamed Lemine Ould bah, Hamma Vezzaz et autres).

Après avoir infecté le gouvernement, voilà aussi le fleuve qui met ses moustiques partout dans les autres sphères de l’Etat :

Président du Sénat : Ba Mbaré


Président du Sénat : Ba Mbaré qui est automatiquement président de la République en cas d’empêchement de Sidioca pendant 45 jours au minimum. La scène est entrain de se profiler à l’horizon …
En attendant, on informera les lecteurs sur les différents tristes passages de l’homme de Maghama à la Mosov, au Port Autonome de Nouadhibou et au ministère des Pêches et de l’Economie maritime, sous Ould Taya.
Aujourd’hui, le président du Sénat, qui a une double nationalité (française et mauritanienne), chose qu’interdit la loi mauritanienne ( qu’il a fait voter par ses parlementaires), ne pense qu’à s’enrichir à la vitesse lumière.

Chef d’Etat major des Forces armées : Félix Ould Negri Ould Negri Ould aigri.








Ce fils de menuisier de la médina 3 n’avait jamais pensé qu’il serait un jour chef d’Etat major des Forces armées, puis général de brigade। Quelle ascension !
Mais beaucoup des gens se demandent aujourd’hui d’où vient ce Negri aigri, parce que, à part les clients de son père menuisier, personne ne le connaît. Est-ce que d’ailleurs ses ordres sont respectés ? lol.
Négri n’est pas plus connu que son adjoint Ely Ould Mohamed Vall. Les deux colonels ont un dénominateur commun : appartenir à la wilaya du Brakna, région de Boghé et ils viennent aux commandes dans le cadre de la braknalisation du pays entamée par Sidioca qui ne se gène pas en la matière.

Haute Autorité de la Presse et de l’Audiovisuel (HAPA) : Bal el Housseinou dit le fou de la presse écrite et parlée.


Depuis qu’il est à la HAPA, il ne fait que haper. Il hape, il hape encore, il hape toujours.
Chaque fois qu’il n’a plus rien à dire à la presse, il demande une audience avec Sidioca pour lui parler des problèmes des Grands Lacs.
Attendre que la presse mauritanienne soit crédible et respectueuse de la déontologie sous l’ère Bal, c’est vraiment perdre son temps.
Les peshmergas lui règlent son compte quotidiennement ; d’ailleurs Monsieur Bal lui-même n’est-il pas un peshmerga reconverti en hapeur ? Ould Beyrouck, ente hem !
A suivre l’invasion du fleuve avec les secrétaires généraux et les walis.

samedi 26 avril 2008

Ahmed Baba contre Breidleil : le retour du parigot.


Ahmed Baba contre Breidleil : le retour du parigot.

L’auteur de "le Polisario, l’âme d’un peuple" réapparaît aujourd’hui contre Mohamed Yahdih Ould Breidleil.
Les années 70 – 80, Ahmed Baba Ould Ahmed Miské avait renié sa nationalité mauritanienne pour rejoindre le front Polisario naissant, on se le rappelle bien.
Monsieur Miske, nous vous rappelons qu’au lieu de venir à la rescousse de Sidioca, vous ferez mieux d’abord de régulariser votre situation de résidence en Mauritanie. Il vous revient d’entamer une procédure légale pour recouvrer la nationalité mauritanienne que vous avez perdue volontairement depuis longtemps. Vous pouvez avoir des problèmes à régler avec feu Moctar Ould Daddah et certains membres du gouvernement de l’époque qui vous ont injustement mis en taule, mais cela ne devait pas vous faire porter tant de haine contre la Mauritanie à laquelle vous avez retiré votre appartenance.
Vous aurez pu vous venger autrement contre Moctar Ould Daddah.
Maintenant que le Polisario vous vomit et que vous êtes resté tant d’années en France pour devenir parigot, vous refaites surface avec le phénomène Sidioca-zinzin, pour nous rappeler vos talents de journaliste écrivain suranné.
Décidemment la Mauritanie est foutue quand on voit Ahmed Baba Miske le guignard devenir l’éminence grise du chef de l’Etat !
Quelque soit ce que vous reprochez à Ould Breidleil – et vous pouvez tout lui reprocher, sauf qu’il n’a jamais renié sa nationalité – sachez que personne ne vous prend aujourd’hui au sérieux, même pas votre cartable noir que vous traînez partout à longueur de journée.
Les mauritaniens sont certes des opportunistes faciles à acheter mais, ils ne sont pas courts de mémoire : c’est pourquoi vous avez intérêt à ne pas déterrer votre passé car cela risque d’être gênant pour vous, pour Sidioca et pour KB. Sachez que les jours se suivent mais ne se ressemblent pas et que Sidioca terminera à peine ce quinquennat. Ahmed nte hem !

Maître Ebety, ça chôme toujours !


Maître Ebety, ça chôme toujours !

Depuis que les problèmes des droits de l’homme sont réglés en Mauritanie (l’esclavage, déportés, etc.), Maître Brahim Ould Ebety, l’avocat très mauritanien, n’a plus rien à vendre.
Sous Ould Taya, il y’avait des gens qui vendaient des bobards et on les prenaient pour des combattants ou militants des droits de l’homme ; mais aujourd’hui, avec la criminalisation de l’esclavage et le règlement du passif humanitaire par le retour et l’insertion des réfugiés mauritaniens au Sénégal et au Mali, il n’y a plus rien à vendre et Maître Ould Ebety est à la recherche de nouveaux clients. Il serait mêlé à des affaires sombres que Lakhbaar Tebgue Vi Dar publiera comme bon lui semble, mais pas à l’insu de Simon Maley !

Le faux douanier Alpha témoigne contre lui-même :


Le faux douanier Alpha témoigne contre lui-même :

Lakhbaar Tebgue Vi Dar a reçu un attest file certifiant que Alpha n’est pas un inspecteur des douanes comme il l’est actuellement à l’aéroport de Nouakchott.
Mais monsieur Alpha et malheureusement pour vous, nous avons mené une enquête au bureau des douanes de l’aéroport de Nouakchott où nous avons constaté que depuis votre récente nomination comme chef de visite, ce bureau peine dans l’exploitation des manifestes parce que les LTA qui tombent entre vos mains s’évaporent dans le registre de la soustraction sous douane.
Nos investigations révèlent également que les dernières contre-performances de ce bureau sont imputables à votre incompétence notoire et surtout votre incapacité d’assurer son fonctionnement normal durant les récents congés du chef de bureau, le colonel notable Mohamed Ould Abidine Sidi qui vous a donné l’intérim (congé annuel, récents soins et analyses médicales à Dakar, etc.).
C’est tout simplement parce que vous n’avez pas encore, monsieur Alpha, le niveau requis d’inspecteur des douanes.
Malgré les indulgences de votre chef qui aurait découvert votre ignorance du travail douanier et l’action néfaste que vous causez à son bureau et aux recettes progressives qu’il tend à réaliser, vous continuez toujours à signer abusivement une LTA entre deux prières en vous grattant la barbe de faux pratiquant et de faux douanier. Décidemment, il n’y a rien à faire tant qu’on ne vous a pas relevé de votre fonction de chef de visite au bureau des douanes de l’aéroport de Nouakchott. Et si le statu quo demeure, les recettes du bureau iront en s’effritant à la sauce Alpha.
Nous vous rappelons maintenant que par arrêté n°313/MF/DAF/SP en date du 01/08/1998 du Ministre des Finances Monsieur Camara Aly Gueladio (votre cousin), vous êtes à peine contrôleur stagiaire. Relisez l’attest file que vous nous avez envoyé, si les commissions que vous recevez chaque jour sous le tapis au bureau des douanes de l’aéroport vous donnent maintenant le temps de le faire.
Prouvez nous donc comment vous êtes devenu inspecteur et en plus chef de visite.
Monsieur Camara Aly Gueladio et l’ex-directeur général des douanes le colonel N’diaga Dieng, ont vraiment dévalué deux secteurs : la douane et la justice militaire !
Sachez également monsieur Alpha, que vous pouvez rouler les usagers de l’aéroport de Nouakchott mais pas nous, parce que nous savons que la fonction d’inspecteur des douanes est balisée, c'est-à-dire qu’il y’a tout un cheminement pour y arriver (formation à l’ENA, formation en France à Neuilly-sur-Seine, etc.). Nous attendons vos preuves monsieur Alpha. Lol !

vendredi 25 avril 2008

Ould Mohamed El Waghef s’ajoute à la pléthore des ministres du fleuve mais la correspondance épistolaire de Smaeil Ould Amar dément son ideydbité.


Ould Mohamed El Waghef s’ajoute à la pléthore des ministres du fleuve mais la correspondance épistolaire de Smaeil Ould Amar dément son ideydbité.

Le lynchage épistolaire que Smaeil Ould Amar vient de faire subir a Sidioca démontre une fois de plus que ce l’homme est un cadre brillant et courageux. Mais les deux vieux retraités secrétés par l’ancien régime de feu Moctar Ould Daddah auraient pu se passer de cet échange de plumes (nous reviendrons plus en détail sur le niveau bas et déplacé de cette polémique entre ces deux zawis qui devraient plutôt se consacrer aujourd’hui à la prière, à leur chapelets et à la lecture du Coran. Mais hadha akhirou ezeman).
Mais à toute chose, malheur est bon : la sortie de Smaeil Ould Amar contre Sidioca révèle les vrais origines de Yahya Ould Mohamed El Waghef qui est un terkzi, deuxième catégorie (arrivage-Taïwan), c'est-à-dire bien après Smaeil Ould Amar, qui vient de le dire between lines dans le journal le Calame.
La famille de Ould El Waghef a toujours cherché ses origines hors terkez, ce qui a amené peut être, Yahya Ould Mohamed El Waghef à dire en confidence, au deuxième tour des dernières élections présidentielles en Mauritanie, qu’il est un ideydbi comme Sidioca, qui lui a renvoyé l’ascenseur. lol
Lakhbaar tegue vi dar n’a plus besoin donc de charger le président de ADIL mort-né. Mais où ira-t-il donc après la diatribe de Smaeil Ould Amar ? Peut être chez les teyzigue…

(Suite Ministres du fleuve)

mercredi 23 avril 2008

Partage tribal et ethnique des hautes fonctions de l’Etat : Sidioca ne se gène pas.


Nos lecteurs l’ont peut être déjà bien noté, mais il y a une braknalisation des hautes fonctions de l’Etat, de la magistrature suprême, passant par la fonction de ministre, de secrétaire général, de directeur de l’Etablissement public, jusqu’au chargé de presse (Amal Mint Sidioca).
Après le Brakna, le Tagant (les Idawali) prend la part du lion.
Le président de la République lui-même, monsieur Sidi Ould Cheikh Abdellahi est originaire de Lemden. Le ministre secrétaire général de la présidence, monsieur Yahya Ould Mohamed El Waghef, l’homme qui trempe sa tête dans toutes les affaires de l’Etat, est un Terkzi. Même s’il demeure à Letfetar (Moudjéria) ou en Chine, un Tirkzi est obligatoirement du Brakna.
Le chef d’Etat major des forces armées, le futur général Félix Negré est de Boghé (Brakna).
Le ministre de l’Intérieur Yall Zakariya est lui aussi de la même moughataa (Boghé). Quel trop plein !
Le dentiste Ould Yarg, ministre de la Jeunesse et des Sports, est un harnos Ideydbi d’Aleg (Brakna) et j’en passe, quand Sidioca ne se gène pas.
Depuis l’indépendance de la Mauritanie , on n’a jamais vu un déséquilibre aussi flagrant dans la représentativité régionale, tribale ou ethnique.
Sidioca, est soit aveugle, ou il ignore complètement le peuple mauritanien qui l’a pourtant élu, malgré lui !
Il a oublié aussi tous les mauritaniens, en commençant par favoriser sa famille, ses cousins puis ses copains.
Au lieu de s’occuper des problèmes de famine et de santé qui se posent aux populations qui ont voté pour lui, le voilà qui se consacre aux faux problèmes de réfugiés et d’esclavage, comme si les autres mauritaniens n’ont aucun droit.
Le tiers du gâteau, notre Sidioca l’a donné aux Idawali, calculant- et s’est dommage pour un économiste qui passe tout son temps à faire des mauvais calculs- qu’en ayant cette tribu à ses côtés, les autres composantes tribales sont insignifiantes et sans droits.
Mais il y a, peut être, une explication plausible à tout cela : Sidioca a trop longtemps séjourné au Niger, qu’il a désappris tout sur son propre pays, la Mauritanie. L ’histoire du Niger n’a rien à avoir avec celle de Bilad Chinguitt et Lemden n’a jamais représenté quoi que ce soit pour la Mauritanie profonde.
Au lieu de voyager à l’étranger, en traînant votre KB et sa grande délégation tous genres (masculin, féminin et combinés), vous devez passer quelque temps dans la Mahadra rurale pour vous ressourcer. C’est là, normalement le rêve de tout Zawi de votre âge. Ente hem !
Décidément, vous n’avez rien appris avec la période de Moktar Ould Daddah dont la composition du gouvernement a toujours reflété la Mauritanie dans sa diversité.
Mais voyons de près votre déséquilibre.
Au niveau gouvernemental, vous avez créé un département inédit, qu’on peut appeler, sans risque de se tromper ‘‘le ministère du fleuve’’ composé des portefeuilles suivants :

Aziz Ould Dahi : ministre de la Fonction Publique et de la Modernisation de l’Administration.


Aziz Ould Dahi : ministre de la Fonction Publique et de la Modernisation de l’Administration.
Ould Dahi est un sénégalais et pour preuves, il était étudiant en France avec une nationalité sénégalaise. Il est revenu en Mauritanie expulsé, suite aux évènements de 1989, en même temps que son premier ministre actuel, Zeine Ould Zeidane alias ZZ ou zinzin, lui-même expulsé dans les mêmes circonstances. Ewlahi wajaa.

Soumaré : ministre des Pêches


Soumaré : ministre des Pêches, un dirigeant du MND plus ou moins modéré mais qui ne comprend rien aux magouilles de la mafia des armateurs du secteur.

Koréra Issaga : le ministre de l’Agriculture et de l’Elevage


Koréra Issaga : le ministre de l’Agriculture et de l’Elevage, monsieur Issaga est l’un des fondateurs du groupe des dix-neuf qui a rédigé, vers les années soixante, le communiqué qui a inauguré les évènements sanglants de 1966. Koréra est un flamiste maîtrisant parfaitement l’Arabe mais refuse de le parler ou de l’écrire, au mépris de la Constitution qui stipule clairement que l’Arabe est la langue officielle de la RIM.

Ba Madine : ministre du Tourisme et de l’Artisanat


Ba Madine : ministre du Tourisme et de l’Artisanat: un homme d’ouverture et fin politicien. Personne ne peut percer le secret de la pensée de Ba Madine, mais il n’est pas en tout cas l’homme qu’il faut pour la promotion du Tourisme et encore moins pour l’Artisanat parce que l’homme ignore la Mauritanie dans ses dimensions culturelles. Pour l’instant, il fait profile bas et se cache pour mieux terminer les secousses de la période transitoire de Sidioca. Ba Madine n’est pas bête mais les voyages dans les déserts mauritaniens et le clair de lune risquent de le désarçonner à force de le dépayser.

Yall Zakariya : ministre de l’Intérieur


Yall Zakariya : ministre de l’Intérieur. Ce rescapé des évènements de 1989 a déjà limogé, comme pour se venger, 59 hakems et administrateurs arabisants lors du mouvement d’octobre 2007.
Il les a fait remplacer par des hakems originaires du fleuve avec à leur tête madame Kane comme wali mouçaid à Rosso, où elle fait actuellement des mouvements incessants entre les deux rives du fleuve. Tant mieux pour madame Kane qui se trouve aujourd’hui à côté des siens.
Yall zakariya a nommé également des hakems ressortissants du fleuve, à Kaédi, à Rosso, à Kankossa, à Sélibaby, à Djigueni, à Koubeni, etc.. Sans parler des walis du Tiris Zemmour et du Hodh El Gharbi, en plus des walis mouçaid en peu partout dans le pays, particulièrement dans les zones frontalières. Qu’est ce qu’il cherche à faire ce Zakariya ? Il ne le sait même pas parce que ces pratiques Zakariyiennes relèvent plus de l’instinct que de la raison.

Ould Yarg : ministre de la Jeunesse et des Sports


Ould Yarg : ministre de la Jeunesse et des Sports, est un ressortissant de la région du fleuve mais il est plutôt friand du mechwi des adwaba d’Aleg, s’il a encore des dents pour digérer les côtelettes des maigres carcasses de mouton qui constituent l’unique décor de Lekdeya.

Yahya Ould Kebd : ministre de la Décentralisation et Aménagement du Territoire







Yahya Ould Kebd : ministre de la Décentralisation et Aménagement du Territoire। Cet Ideguejmeli fait partie du cercle infernal des ministres ressortissants de la région du fleuve et pèse lourd dans le déséquilibre gouvernemental qui tourmente Sidioca।



A suivre.

lundi 21 avril 2008

Sid'El Moctar : mission pour KB



L’ancien ministre, ancien gouverneur de la Banque Centrale, ancien ambassadeur à Paris, son Excellence Sid'El Moctar Ould Nagi n’a pas trouvé mieux par les temps qui courent, que de faire le courtier international au profit de la fondation KB et fils. Question d’arrondir les fins de mois difficiles, peut être. Pour l’instant son Excellence se trouve à Paris afin d’acquérir une villa pour la première des premières dames, comprenez madame Sidioca ! Mint Ewnen lui aurait préparé parfaitement le terrain financier à 5, rue Montevideo.
Cette mission de courtage, Sid'El Moctar la partage depuis quelques mois avec notre ambassadeur à Bamako, le vieux bambin Sidamine Ould Ahmed Challah ancien prédateur à la direction des impôts sous Ould Taya. A préciser au passage que Sidamine est marié à la nièce de Sidioca et qu’il est le seul ambassadeur ère Taya à survivre à tous les vastes mouvements diplomatiques depuis le changement du 3 août 2005 à nos jours, en dépit de ses maigres prestations à Bamako. Lol

A suivre l’injuste partage tribal et ethnique des hautes fonctions de l’Etat, version sidioca avec portions congrues pour le fleuve et le Tagant.

Rumeurs de remaniement ministériel : Ould Yalli doit rendre au peuple mauritanien l’argent détourné durant son mandat de ministre.


Avant de quitter le gouvernement, l’intéressé doit obtenir un quitus par rapport aux biens déclarés et ce qu’il possède aujourd’hui (villas surtout).
Pour échapper à la sentence, il doit restituer l’argent public avec lequel il a acheté les maisons qu’il a enregistrées sur des faux noms avec la complicité de son vendeur qui n’est pas n’importe qui (mais qui a des principes en planches et serre-joints. Nte hem !)
Lakhbaar tebgue vi dar, va bientôt révéler le nom du courtier qui a vendu les villas au ministre Oumar Ould Yalli et à d’autres responsables de l’Etat.
L’instituteur du village, jadis dévoué pour la craie et l’amour des élèves, s’est transformé aujourd’hui en rapace à l’appétit lancinant que rien n’arrête devant le détournement de l’argent du pauvre contribuable mauritanien. Cette catastrophe messoudienne a causé un désastre aux secteurs les plus vitaux du pays à savoir l’Energie, l’Hydraulique et les Technologies de l’Information et de la Communication (TIC).
Nous allons très prochainement révéler les adresses des maisons mal acquises de Ould Yalli.

dimanche 20 avril 2008

Anniversaire de Sidioca : Que de bruits pour rien.


Après la scène de retraite bien jouée par Ely.com le 19 avril 2007, lors de la cérémonie de prestation de serment de Sidioca avec un back ground des futurs actuels généraux assaisonnés de sous-ministres zinzins extraordinairement malhonnêtes, la Mauritanie n’a connu que la misère et l’insécurité.
Sidi Ould Cheikh Abdellahi a complètement oublié qu’il a été difficilement élu par un peuple à qui il a promis la justice et la prospérité économique.
Or, qu’est-ce qu’il y a aujourd’hui ?
Depuis que l’homme de Lemden est là, les marmites sont vides alors qu’une poignée de gens se partagent les finances publiques (il faut rappeler qu’à l’époque de Ould Taya, les gens volaient les deniers publics mais ils les partagent avec les autres). Aujourd’hui, l’entourage de Sidioca ignore totalement le peuple mauritanien et s’enferme dans la logique de l’égoïsme pour compter l’argent volé !
En tout cas, Khattou et ‘‘Ould Oumer’’ perdent, aujourd’hui, leur temps au stade olympique de Nouakchott en vendant du bipo pour célébrer un triste évènement !
Le vrai bilan de Sidioca est un an de misère et d’insécurité caractérisé par des gaffes diplomatiques en commençant des déplacements à l’étranger, par des pays non limitrophes de la Mauritanie comme le Koweït et la Libye, ignorant des voisins aussi importants que l’Algérie et le Maroc.
Sidi Ould Cheikh Abdellahi a passé toute cette année à voyager, en traînant son épouse KB et sa fille Amal avec des accompagnateurs tous genres, féminin, masculin et combinés !

Parlons-en, un peu Sidioca, de votre bilan 2007-2008 : Il rappelle de façon extraordinaire vos échecs lamentables à la tête des différents ministères sous Moktar Ould Daddah et sous Maaouya Ould Sid’Ahmed Taya (Raffinerie de pétrole, Usine de dessalement d’eau, etc.).
Vous étiez le créateur des éléphants blancs et cela vous rattrape aujourd’hui à la Magistrature suprême : Vous avez promis tant de chiffres, mais les ménagères n’ont rien vu.
Quant à votre gouvernement zinzin, n’en parlons pas, parce qu’il n’existe que de nom. Vous et votre zinzin, êtes incapables de nous garantir tout simplement la sécurité. Ennass, indi anha maa dor andkoum chi okhar !
Cependant, vous n’êtes pas le seul fautif dans cette galère, parce que monsieur Ahmed Ould Daddah, qui vous apporte aujourd’hui son soutien, devient quant à lui, le plus grand traître aux yeux du peuple mauritanien, en partageant avec vous la responsabilité des souffrances que vous faites subir à trois millions d’habitants qui ont tant de richesses : sol, sous-sol, ciel ouvert et marines.
Votre médiocrité dans le choix des hommes est malheureusement allée si loin et de façon ridicule, jusqu’à donner, sur le petit écran de TVM (vidéo enregistrée), carte blanche à Ould Beye, le voleur du nom de Mohamed Vall Ould Oumer.
Ce ‘‘Oumer’’ n’a pas respecté la mémoire des morts en usurpant l’identité du glorieux vénérable et respecté feu émir Mohamed Vall Ould Oumer, comment peut-il alors respecter celle des vivants ? Ils ne sont même pas de la même tribu, loin s’en faut.
Le ‘‘Ould Oumer’’ du journal La Tribune , du vrai nom de Ould Beye, son père présumé, est d’Idadfagha (des sous traitants des Oulad Deymane). Et on le répétera jamais assez, ce voleur du nom des nobles familles est un cleptomane qui volera KB et Sidioca.
Ould Beye n’est rien d’autre qu’une taupe d’Ahmed Ould Daddah et aurait pour mission de soutenir Sidioca, contrecarré par l’éminent journaliste écrivain Mohamed Yehdhih Ould Breidleil. Mais c’est vraiment une histoire de Goliath contre David, côté plumes et le faux Oumer le sait bien !
Pourquoi Ahmed Ould Daddah soutient-il réellement Sidioca ?
C’est tout simplement pour le maintenir dans son fiasco actuel, jusqu’à la fin de son mandat, question de le rendre encore plus impopulaire, pour le battre éventuellement aux prochaines élections présidentielles (si l’âge lui permet de se représenter), ou affaiblir son camp dans tous les cas de figure.
Mais, monsieur Ahmed, ne tombez pas dans le calcul de Dramé, qui confectionna une stratégie toute une année durant pour tromper la Douane de Rosso, et le tout est finalement tombé à l’eau. D’où le proverbe regulet Dramé.
En tout cas, tout ce tintamarre ne pèse pas devant la montée des prix du sucre, du lait, de la viande et le manque d’eau à Nouakchott. Voila le vrai bilan annuel, votre bilan, vous et Ahmed Ould Daddah, qui devient votre complice au palais ocre.
Il y a cependant une chose positive dans tout ça : c’est l’amélioration de la tenue vestimentaire de monsieur Messaoud Ould Belkheir qui est aujourd’hui à moitié apprivoisé. Ça, c’est tout au moins, un exercice à votre honneur, parce que Messaoud commence à croire réellement qu’il est président de l’Assemblée nationale. C’est l’inacceptable qui devient réalité.
Quant au remaniement ministériel, ne vous fatiguez pas, parce que vous irez toujours d’un zinzin à l’autre. A bientôt, mais passez de temps en temps dans les petites boutiques et les habitations des Kebbas et, demandez aux gens, qu’est ce qu’ils pensent de Sidi Ould Cheikh Abdellahi et de Khattou. Lol.

jeudi 17 avril 2008

La recherche de salafistes présumés, mène à un vrai bouc émissaire.


Les forces de polices ne cessent de se ridiculiser par les temps qui courent en multipliant les bévues. Après avoir massacré les étudiants de mahadras qui attendaient paisiblement la cuisson d’un petit chevreau (jdi), voilà que la police, après avoir encerclé une gazra suspecte à Arafat où elle pensait qu’elle servait de repère aux terroristes, commet une énième bavure sur un animal paisible.
En effet, à la simple vue d’une barbe d’un atrouss (bouc), qui était le seul à fréquenter la baraque abandonnée, les policiers le criblent de balles de toutes parts. Malgré cela, même le atrouss réussit à les semer avec un bruit strident (youyous).
Toute la population du voisinage de la gazra arrive sur les lieux pour découvrir que le bouc qui était le seul mâle de leurs chèvres, vient d’être massacré.
C’est vraiment ridicule que la barbe d’un bouc puisse être confondue avec celle d’un salafiste. lol

La folie de grandeur de la tartarin de Tarascon.


Madame Mint Haba, la nullarde ministre de zinzin chargée de l’Education Nationale est devenue très imbue de sa personne qu’elle n’écoute plus personne, même pas son mari Ould Bellamech dit le sage agriculteur de tous les temps. Elle veut reformer le système éducatif mauritanien en l’achevant tout simplement.
Après la fronde des étudiants qui ne trouvaient plus au restaurant universitaire que les cafards comme plats de résistance, c’est le tour des professeurs, tous degrés confondus, qui menacent de quitter le tableau noir.
Bientôt Mint Haba la nullarde qui ne semble pas avoir fait réellement l’école bilingue – qui lui est très chère – va se trouver seule face à une centaine de milliers de bandits. Elle est déjà d’ailleurs bien dedans parce qu’elle s’oriente aujourd’hui vers la construction de salles de classe, de sièges de DREN et autres marchés générateurs de commissions. Mais pourquoi Ali Fall le secrétaire général du Ministère, laisse-t-il la Nebghouha déchaînée et cancre saborder l’Education Nationale, lui qui est professeur compétent titulaire de chair à l’université de Nouakchott ?

mardi 15 avril 2008

Liste prédateurs post 3 août 2005 (suite)

- Habib Ould Hemet : Secrétaire Général de la Présidence du CMJD. Il est actuellement en "évasion" en Afrique pour jouer le rôle de soit disant facilitateur de conflit entre Etats. L’homme prétend avoir à son actif le fait d’être ex-Secrétaire Général du Conseil Militaire qui a réussi la meilleure transition démocratique en Afrique. En réalité, Habib a plutôt joué le rôle de facilitateur entre fournisseurs de l’Etat du régime de Ould Taya et Abdellahi Ould Souleymane, ministre des Finances du CMJD, en empochant des commissions énormes sur les engagements bidons de l’ancien régime.

- Ould Waghef : ex-Directeur Général d’Air Mauritanie.
Yahya Ould Mohamed El Waghef, on s’en souvient, était Directeur Général de la Compagnie Nationale Aérienne qu’il a mise à genoux par la mauvaise gestion et le détournement des fonds. Il a fallu attendre la saison de pèlerinage pour que le Président du CMJD Colonel Ely Ould Mohamed Vall, découvre le pot aux roses, pour limoger l’homme. Actuellement, Yahya Ould Waghef fait la pluie et le beau temps sous Sidioca. Il dit même en coulisse, qu’il est entrain de prendre sa revanche sur le CMJD. Mais jusqu’à quand l’homme de letfetar va-t-il sévir impunément ?

- Diagana : l’ex-Directeur Administratif et Financier de la Présidence du CMJD, Monsieur Diagana est actuellement secrétaire général du Ministère de l’Economie et des Finances après un passage dévastateur à la Direction du Budget et des Comptes. Diagana est toujours ordonnateur de budget. Dans le département de Ould Hama Vezaz, il cherche à se sucrer d’avantage, en profitant des largesses du mandat de Sidioca. Arrêtons le avant qu’il ne soit trop tard, parce que le soninké cherche à s’établir dans la banlieue parisienne où il a déjà acheté plusieurs appartements.

Réaction de Sikasialem sur l’affaire du Gouverneur de la BCM

Salutations
Je souhaite la publication du texte attaché au registre des commentaires de la réaction du gouverneur.
Merci à l'avance.
Sikasialem


Je suis étonné par votre attitude haineuse vis-à-vis de l'Arabe qui est, je le signale au passage, la seule langue écrite dont usaient vos ancêtres, je parle des Tékanois et non des gaulois, pour leurs multiples besoins culturels, scientifiques et documentaires. En Mauritanie, elle n'est pas imposée, elle s'impose et l'on n'y peut rien. Sidioca, KB, la confrérie et les autres trucs du moment n’y changeront rien du tout.

Dites vous également monsieur le gouverneur, qu’il est indélicat de la part d’une personnalité de votre rang de s’en prendre à la langue d’une composante de ses compatriotes fût elle minoritaire.

L’histoire récente de la Mauritanie nous a appris à nos dépens hélas, que chaque fois qu’il n’a pas été tenu compte de certaines réalités pourtant simples, que d’aucun cherchent à compliquer, il s’en est toujours suivi un dramatique retour de manivelle.

Je crains fort que l’on soit -par certains de nos agissements- entrain d’en préparer un actuellement ; je ne sais pour le compte de qui.

Par ailleurs, et à l’instar de tous ceux qui vous ont précédé, faites comme bon vous semble à la BCM. Il serait injuste de vous demander de faire autrement ; mais prenez vos gardes à propos de l’arabe et de l’arabité d’une très grande majorité des mauritaniens.

A ce propos d’ailleurs, amusez vous monsieur le gouverneur à l’exercice de soustraire à la liste électorale établie en 2007 tous les noms comportant le ould. En dépit du bonus que constitueront les Kaber Hachem, Fall Abdarrahman et Sid Brahim Sidatt on en sera toujours à la portion congrue, moins de 9%.

Don’t act. Lakhbaar Tebgue Vi Dar

Parti ADIL : un mort-né


Le destin de ce parti politique bidon s’est dessiné déjà lors de sa création. Son certificat de décès est signé par la nomination de son président, en la personne de la "tête de l’âne qui trempe sa tête dans toutes les sauces" (rass lahmar dirni vih). Vous avez compris, il s’agit bien de El Waghef, l’assassin du projet énergie (qui devrait privatiser la SONELEC) de la SOMAGAZ et d’Air Mauritanie. Même la Présidence de la République va bientôt être victime de sa présence comme secrétaire général du palais qui devient aujourd’hui plus ocre que d’habitude.
Question : Pourquoi ce monsieur cumule-t-il toutes les responsabilités (retour des réfugiés, programme d’urgence, secrétaire général de la Présidence, Président de ADIL, Président de la Commission Interministérielle avec les partenaires au Développement pour l’Exécution du Programme d’Urgence, etc. )?
Comme si la Mauritanie ne compte pas d’autres cadres plus honnêtes et plus compétents que Yahya Ould Mohamed El Waghef !
L’homme est champion des promesses non tenues, voilà pourquoi les cadres membres fondateurs de ADIL et ressortissants du Hodh, ne peuvent plus supporter les mensonges quotidiens que Ould Waghef leur fait avaler.
Croit-il lui-même réellement à ce qu’il dit ? Peu vraisemblable.
Aujourd’hui ADIL est tellement décrié par son état major composé de Romouz El Vessad, qu’il n’ose pas mettre la tête dehors pour faire les fameuses implantations politiques. lol
Beaucoup de populations les attendent à l’intérieur du pays pour les bastonner. En tout cas, si jamais Waghef et les siens prennent le risque d’aller à l’intérieur du pays, après les dernières campagnes mensongères de sensibilisation, ils doivent prendre beaucoup de sirwal parce qu’ils vont les laisser sur place.
En attendant, Yahya Ould El Waghef se sucre à la présidence en ordonnant les décaissements d’argent public. Mais si les parlementaires membres essentiels fondateurs, actuellement mécontents de ADIL, demandaient au Gouvernement l’ouverture d’une information judiciaire sur les crimes économiques de O. Waghef contre la compagnie nationale AIR MAURITANIE par exemple ! Sidi nte hem !

lundi 14 avril 2008

Présidence de la république : l’abus de pouvoir continue


Lakhbaar Tebgue Vi Dar révèle à ses lecteurs quelque chose d’incroyable : le recrutement par voie de concours imposée à tous par une loi est en perpétuelle violation par un gigolo qui sévit impunément au cœur de la République Islamique de Mauritanie.
Le Directeur du Cabinet du Président de la République, en l’occurrence Sidi Mohamed Ould Amajar, le Dircab Pr.
En effet, sur un simple coup de téléphone, Ould Amajar fait et défait la République selon ses humeurs du jour et ses accointances.
Il vient de nommer son beau-frère Sidi Ould El Hadrami Ould Khattry qui moisissait au Ministère de la Justice prétendant, qu’il a passé avec succès le concours de recrutement de conseillers au Ministère des Affaires Etrangères. En réalité, Sidi Ould Khattry doit rejoindre son père le vieux Hadrami actuellement malade au Maroc. C’est l’unique raison.
Monsieur Amajar, vous et votre beau-frère pouvez bien vous occuper du vieux Hadrami sans utiliser les maigres possibilités du contribuable mauritanien qui doivent profiter d’abord à la pléthore de diplomates qui agonisent au MAEC.
Mais puisque le Ministre des Affaires Etrangères alias tintin est votre boy, alors faites-en ce que vous voulez.
Ce genre de nominations ne surprend personne dans une République de zinzins, de tintins, de messoudins, de waghfins et autres.

Premier anniversaire du couple KB/SIDIOCA au palais ocre : dans tout ça, Ould Oumère le idatfagui aurait mieux fait de rendre hommage à feu Habib Ould


Premier anniversaire du couple KB/SIDIOCA au palais ocre : dans tout ça, Ould Oumère le idatfagui aurait mieux fait de rendre hommage à feu Habib Ould Mahfoudh।


Khattou Mint El Boukhary vient de faire appel au service de Mohamed Vall Ould Oumère (l’hypocrite à tout vent) pour faire de la publicité des 365 jours de Sidioca à la présidence.
En empochant l’enveloppe offerte par KB, Mohamed Vall Ould Oumère regarda trois fois autour de lui et disparut en promettant à Khattou monts et merveilles dans la presse écrite pour commémorer l’anniversaire de l’accession de Sidi au pouvoir en Mauritanie, le 19 avril prochain.
Mais il y’a lieu d’informer ici Khattou, et une femme avertie en vaut mille, que Ould Oumère (qui n’est pas fils de Oumère, tenez-vous bien) a déjà trahi feu Habib Ould Mahfoudh en détournant les caisses du journal El Bayane et en roulant plus tard le célèbre journaliste écrivain dans un cercueil. Mohamed Vall, oujhak baad dhaher aalih enak moujrim, etfou bik maghla alik el vadha (regardes toi dans un miroir, et tu comprendras peut être les raisons de tes crimes)

(Nous reviendrons sur la mort de Habib Ould Mahfoudh et Ould Oumère dans tout ça)

samedi 12 avril 2008

Réaction Gouverneur de la BCM :


Je croyais que votre blog est sérieux, mais en vous prenant à moi, j’en déduis que vous êtes des nationalistes arabes étroits.
Vous dites que j’interdis l’usage de l’arabe à la BCM, mais vous oubliez que l’arabe nous a été imposé et que ce n’est pas la seule langue en Mauritanie.
Vous vous demandez aussi qu’avais-je fait avec les institutions arabes de financements pendant mon récent séjour au Yémen. Vous êtes tellement ignorants parce que vous ne savez pas qu’au Yémen et partout dans le monde arabe, c’est l’English qui est d’usage.
Vous ignorez aussi que Sidi Ould Cheikh Abdellahi et moi sommes de la même confrérie religieuse.

Réponse de lakhbaar tebgue vi dar :

Bienvenue Seydi Ousmane Kane à lakhbaar tebgue vi dar, mais sachez d’abord que malheureusement pour vous, votre présente réaction ne mérite même pas d’être commentée.
Vous n’avez parlé ici aucune langue, ni English, ni arabe, même pas le haal poular.
Vous parlez du zregue.
D’autre part, sachez Seydi Kane qu’ici à lakhbaar tebgue vi dar nous ne sommes ni nationalistes arabes, ni bathistes, ni flamistes, ni salafistes, ni kane-ousmanistes.
Nous avons seulement remarqué un vide au sein de la presse écrite que nous souhaitons combler comme tout les internautes à travers la cyberpresse. La presse écrite étant devenue malheureusement inféodée au pouvoir depuis l’arrivée des militaires aux commandes. Donnez aujourd’hui à un journal de la presse mauritanienne deux cent mille ouguiyas (200.000 UM) d’abonnement à la BCM et ils feront de vous un moughadam, titre que sidioca et sa secte, ne vous ont pas encore décerné.
Au lieu de vous en prendre à notre blog où nous respirons encore le peu de liberté qui nous reste, vous aurez mieux fait de rester à la maison pour cajoler les billets de banque que vous détournez chaque jour à la BCM.
S’agissant de l’arabe, personne ne vous l’a imposé. C’est tout simplement la langue du Coran et vous prétendez être un musulman, monsieur Seydi Ousmane.
Vous et les vôtres, nourrissez tant de haine contre l’arabe. Pourquoi ? Le Coran (parole de Dieu) a été révélé au prophète en arabe, le savez-vous ?
Vous êtes tout simplement alors un minable complexé et votre malheur, est que vous allez hélas, devoir traîner ce complexe jusqu’à la fin de vos jours.
Vous préférez le français et l’anglais à l’arabe et c’est normal parce que vous êtres l’archétype de l’acculturé.
S’agissant de l’anglais qui est parlé partout dans le monde, vous n’apprenez rien à personne, même pas à votre boy Mamadou.
Parlez-nous plutôt de l’ouguiya et sa santé, au-delà de la façade nacrée que vous venez de construire et qui cache vos crimes financiers !
Et le statut habit taillé sur mesure qui vous assure un mandat de cinq ans. Est-ce logique ? Est-ce juste ?
Lakhbaar tebgue vi dar est prêt à entretenir avec vous le bas niveau du débat que vous nous proposez. Lol

Ould Hama Vezaz, savez-vous que Dye Ould Zeine est un sathie*.


Le Ministre de l’Economie et des finances Abderrahmane Ould Hama Vezaz a amené récemment au Yémen où se sont tenues les assises des Institutions Arabes de Financement, un grand voleur dans son sac, en l’occurrence monsieur Dye Ould Zeine (ancien Directeur intérimaire du Budget et des Comptes). N’avez-t il pas peur qu’on coupe la main du voleur alias Dye sathie.
Pourquoi d’ailleurs amener ce Dye partout où il y’a des assises financières où conclaves de bailleurs de fonds. Dye Ould Zeine n’est plus Directeur du Budget et ne possède donc plus de dossiers financiers sensibles. Il devient Directeur du Patrimoine à la place de Thiam Diambar qui lui faisait son travail pendant qu’il était intérimaire à la Direction du Budget et des Comptes, parce que les véritables techniciens des finances ont été écartés (Sidi Mohamed Ould Boubacar, Ahmed Ould Michel, Sidi Mohamed Ould Biye, Mohamed Chérif, etc.)
Monsieur Dye, vous ferez mieux de vous connecter avec le notaire thieup tieup monsieur Ould Boudida actuellement plongé dans les affaires d’hypothèques bidons et le micmac de tout genre.
Quand à vous, Monsieur le Ministre, au lieu d’amener dans votre sac la sathie de la Direction du Budget, vous ferez mieux de faire le mouvement réclamé par toute la république au sein des bureaux des douanes ou sévissent encore les symboles du gaspillage et de la corruption. Dah nte hem !

* sathie = voleur en langue wolof

jeudi 10 avril 2008

Nouakchott devient un lieu de prédilection pour les services de renseignements occidentaux




Depuis le coup d’Etat du 03 Août 2005 contre le régime de Maaouiya Ould Sid’Ahmed Taya, les services spéciaux américains, français et israéliens se bousculent à Nouakchott comme des mouches sur une grappe de raisin.
La France est traditionnellement présente et l’assassinat récent de touristes français en Mauritanie, n’a fait que renforcer cette présence.
La CIA est venue avec son frère jumeau le Mossad pour couvrir toute la Mauritanie. Mais que cherchent-t-ils au juste ? Le malheur est que eux seuls peuvent répondre à cette question.
Et nos services de renseignements mauritaniens à nous ! Que font-ils ? Où se forment-ils ? Quels moyens ont-ils ?
Autant de questions que se pose aujourd’hui le citoyen mauritanien, après la mise en déroute de notre système sécuritaire par une poignée de petits truands prétendant appartenir à la mouvance Salafiste, ce qui reste encore à vérifier ?
Décidemment avec un premier ministre zinzin, tout devient zinzin, y compris les renseignements eux-mêmes !
Le carnage ce Mercredi 9 Avril 2008 au sein d’une Mahadra dans la moughataa du Ksar, sur des élèves de Coran entrain de cuire paisiblement un chevreau (Jdi) pour réviser avec leur maître (guaray), est la preuve éclatante, si besoin était, de l’incompétence notoire de nos policiers qui confondent les quartiers de chevreau (adham jdi) dans une marmite avec des fusils mitrailleurs de Salafistes. Rien qu’avec l’odeur que dégage la marmite, le plus cancre des policiers, peut discerner entre la présence de bandits en fuite et celle des élèves de Mahadra à la recherche du savoir (talebetou ilmin).
Si ce genre de bavure se répète, eh bien, adieu la Mauritanie !
Et les officiers de la police, genre commissaires principaux, commissaires divisionnaires ! Où sont-ils ?
Ils seraient entrain de se chamailler à la DGSN pour le partage de crédits, comme un troupeau de chacals sur une charogne.
Pour une fois, nos députés se sont réveillés de leur long sommeil d’ignorance, ce Mardi 8 Avril 2008 pour fustiger le gouvernement zinzin pour son incapacité à garantir la sécurité pour les citoyens, ce qui est son premier devoir.
Monsieur zinzin, puisque votre incompétence est donc aujourd’hui plus d’une fois prouvée, pourquoi ne pas disparaître à la Al Thani en visite à Nouakchott ce mois d’Avril 2008 ?
En tout cas, personne ne vous regrettera, même pas Nani Ould Chrougha, votre pseudo-direcab.
Qu’allez-vous également répondre au Tout Puissant pour ce massacre des enfants de la Mahadra du Ksar, vous qui fréquentez souvent la Mosquée Al Atigh pour la prière hebdomadaire du Vendredi ?
La Mauritanie a connu d’autres premiers ministres, mais aucun n’a été aussi guignard que vous !... lol
De grâce, zinzin, disparaissez avant qu’un désastre n’efface la République Islamique de Mauritanie de la carte du monde ! Et le spectre n’est plus très loin selon les observateurs avertis.

mercredi 9 avril 2008

Suite de la liste des prédateurs post 3 août 2005

Dy Ould Zeine : éternel DGA du budget et intérimaire Directeur Général du même département pendant les longues vacances de ce poste, suite à la nomination de Youssouf Diagana comme Secrétaire Général du Ministère de l’Economie et des Finances. Ce dernier étant un autre dinosaure du détournement de l’argent du contribuable. Habib Ould Hemet, nte hem !
Sidi Ould Mayouf : Directeur actuel de l’Agence Nationale pour la Promotion et l’Emploi des Jeunes (ANAPEJ) à l’intérieur de laquelle il vient d’inaugurer les pratiques de détournement, genre inédit (nous y reviendrons).
Sidi Ould Guenaya : ex-Directeur du PANPA pendant la transition démocratique version CMJD. Ould Guenaya a facturé au PANPA un remorqueur occasion à un milliard d’ouguiya environ, tandis que le remorqueur coûte à l’état neuf au maximum cent cinquante millions d’ouguiya (150.000.000 UM). Surfacturation de haute voltige !
L’homme est actuellement entrain de faire des placements de l’argent du port détourné, dans le secteur de l’hôtellerie.
Mohamed Ali Ould Sidi Mohamed : ex-Directeur Général de la SONELEC sous Ould Taya et Ministre du Pétrole sous Ely.com.
Après avoir détourné d’énormes montants par le truchement de marchés gré à gré au profit de son oncle notaire Haycen, Mohamed Ali se livra au Ministère des Pêches, pendant 19 mois, au racket des demandeurs étrangers de permis de recherches minières qu’il n’accordait que contre des commissions juteuses en euros.
Sidi Mohamed Ould Moïne, Directeur du Parc National du Banc d’Arguin.
Il est à rappeler d’emblée, que Ould Moïne se maintient à la tête de cette institution contre l’érosion des vents et marées marins, avec l’appui de la Secrétaire d’Etat déléguée auprès du Premier ministre pour l’environnement dont il a financé le mariage en lui donnant le biberon.
Sous Ould Moïne-tête blanche, les oiseaux du Banc d’Arguin "se cachent pour mourir".
Le Banc d’Arguin aura certainement le sort de la SONADER que Ould Moïne a mise à genoux sous Ould Taya auquel il avait fait avaler des pommes de terre qui ne poussent pas sur le sol mauritanien. Quel champion !
Thiam Diambar, Directeur du budget et des comptes :
Précédemment Directeur Général des Domaines, de l’Enregistrement et des Timbres, Diambar n’a pas fait exception à la règle du détournement et de l’usage de faux, loin s’en faut. Les crédits hypothécaires à risque qui ont ébranlé le système bancaire américain, risquent d’exploser en Mauritanie du fait des pratiques de monsieur Thiam en complicité avec le notaire tieub-tieub très cancre en la personne de maître Boudida.
Mohamed Ould Sid'Ahmed alias Ehoud Barak : continue à se la couler douce à Nouadhibou avec les professionnels du secteur des Pêches : crédits d’accès à la ressource. Mohamed nte hem !
N’eut été l’arrivée de l’actuel maire qui a mis fin à la dictature du "Ghailany menteur" qui a transféré le bureau du trésorier régional dans sa chambre à coucher dans le quartier de Doubaï Nouadhibou, personne n’aurait pu redresser la barre.
Isselmou Ould Mohamedel Embaly Directeur Général des impôts : l’artisan de toutes les magouilles au Ministère des Finances, continu à se sucrer sur le dos du contribuable en imposant un forfait à la place du réel aux grands centres commerciaux de Nouakchott (Bana blanc, Tati, etc.). Les fiscalistes l’accusent aujourd’hui d’avoir réussi à s’entendre avec les opérateurs des télécommunications (Mauritel, Mattel et Chinguitel) sur un forfait annuel. Comme quoi, le faux et usage de faux à encore beaucoup de jours devant lui en Mauritanie. Son ami et parrain dans les pratiques peu orthodoxes en matière de procédures fiscales, l’ancien Ministre des Finances Mohamed Khaled lui a légué toutes les recettes louches en matière de dégrèvement de l’impôt. Arrêtons-le avant qu’il ne soit trop tard, ou du moins, ne le perdons pas de vue.

Liste à suivre

mardi 8 avril 2008

Atmosphère Western à Nouakchott : Zia Al-Hagh sirote tranquillement son zhem :


Au moment où un climat d’insécurité et d’atmosphère de PECOS TIRES OU MEURES règne à Nouakchott causant des morts et des blessés dans les deux camps (forces loyales et salafistes rebelles), le Général empereur Mohamed Salem Ould Atigh dit Zia Al-Hagh savoure un repos de guerrier dans son bureau des douanes-villes mitoyen l’Etat Major de la Gendarmerie Nationale et qui lui sert de salle à manger et de chambre à coucher depuis la nomination du nouveau Directeur Général des douanes le Colonel Dah Ould Hamadi à la place de Mohamed Ould Mohamedou, limogé sans aucune forme de procès depuis l’installation du Gouvernement de Zeine Ould Zeidane.
Zia Al-Hagh partage chaque jour son repas de gargantua fait de gigots de chevreuil assaisonné de jus d’outardes que lui servent ses braconniers recrutés dans les milieux de chasseurs sélectionnés parmi les meilleurs tireurs d’élite d’Ajouer.
Les braconniers serviteurs de Zia Al-Hagh se reconvertissent aujourd’hui dans le métier de rabatteurs de véhicules usagers dans les bourses de Nouakchott, tout en prospectant le marché noir d’armes et de munitions. Zia Al-Hagh possède une réserve discrète d’armes trafiquées.
Quand on lui parle aujourd’hui d’attaques de Nouakchott par des mercenaires, Zia Al-Hagh affiche un rictus moqueur, comme si rien ne lui échappe dans les activités de tendances subversives depuis le changement du 3 août 2005. lol

(A suivre les pratiques de Zia Al-Hagh durant la période de transition)

lundi 7 avril 2008

Ces vieilles femmes amazones qui exercent le pouvoir dans l’ombre


Beaucoup a été dit sur le partage du pouvoir entre Sidioca, Messaoud Ould Boulkheir et zinzin. Mais en réalité, il s’avère aujourd’hui que la Mauritanie est surtout dirigée depuis Avril 2007 par des femmes amies qui ‘‘dierkent’’ ensemble depuis les années 70.
Ces amazones ont pour dénominateur commun d’être les épouses ou ex-épouses des anciens ministres de feu Moktar Ould Daddah (Sidioca, Cissoko Mamadou, Soumaré Diaramouna, Baro Abdoulaye, etc.).
Ces cavalières dans l’ombre sont KB, Madame Cissoko née Marie, Yaye Diaw ex-madame Baro Abdoulaye, actuellement partenaire de Tidjnai Ben Houssein dit le targui Star-sorcier et franc-maçon intercontinental, Fatimata Kane épouse de feu Soumaré Diaramouna et surtout Yacine MBingue (sœur de Yaye) alias madame pourvoyeuse royale des rencontres agréables en tout genre et tous azimuts.
Depuis que ces amazones se cachent derrière le paravent de Sidioca, elles tirent les ficelles en nommant leurs parents et amis aux hautes fonctions de l’Etat.
Le gouverneur de la Banque Centrale, monsieur Kane Ousmane est actuellement maintenu à sa place et protégé grâce à sa sœur Fatimata Kane Diaramouna.
La secrétaire générale du ministère de la Décentralisation de Ould Kebd dirige de facto ce département où elle a été imposée par Yaye Mbingue.
Marie Cissoko a imposé quant à elle beaucoup de gens dont son poulain Dicko Soudani à la tête de l’Agence Mauritanienne d’Information (AMI), ce Dicko étant un ancien petit speaker présentateur des ‘‘extrêmes’’ à Radio Mauritanie.
Ces mêmes femmes seraient derrière la décision improvisée du retour des réfugiés par Sidioca. Comme on dit, la nuit porte conseil.
Il faut préciser surtout que mesdames les vieilles amazones amorties ont été derrière le ‘‘passage’’ de Sidioca au deuxième tour des présidentielles, grâce, disent-elles à l’importation de tout ce que l’Afrique compte comme marabouts, sorciers et magiciens qui ont occupé les grandes hôtels de Nouakchott pendant toute la campagne de Sidioca. Ahmed Ould Daddah…nte hem !
Voila réellement qui dirige notre Mauritanie d’aujourd’hui ou la Mauritanie, ère féminine !
Quant à Sidioca le sympa, il passe le maximum de son temps entre la mosquée et les arbres-palabres de la présidence pour chérir les souvenirs de l’époque Daddah en compagnie de Baro Abdoulaye, Hassni Ould Didi, Ahmed Ould Sidi Baba, Abdellahi Ould Ismael et Azizi Ould Mamy.
A suivre…

dimanche 6 avril 2008

Cavale de Ould Sidina, retour agité de l’émir de Qatar, échange de tirs d’armes légères en plein centre de Nouakchott, le tout en 24 heures : ou l’atm

Cavale de Ould Sidina, retour agité de l’émir de Qatar, échange de tirs d’armes légères en plein centre de Nouakchott, le tout en 24 heures : ou l’atmosphère de ‘‘PECOS tires ou meures’’ !
Des sources concordantes faciles à vérifier signalent que le juge chargé de l’enquête du meurtre des touristes français aux environs d’Aleg, a convoqué l’assassin Ould Sidina au tribunal de Nouakchott sans en avoir informé les services de sécurité, prétendant son incapacité d’écouter l’accusé, à la prison parce que les avocats n’étaient pas autorisés à y accéder. Ces mêmes avocats n’étaient non plus venus au palais de justice.
Comment Ould Sidina fut-il laissé si facilement aller seul aux toilettes, soit disant pour satisfaire un besoin personnel, sans renforcer la garde au tour de ces mêmes toilettes ?
Autre question : Pourquoi n’a-t-on annoncé la disparition du criminel que 30 minutes après ?
Autre question : Pourquoi, le jour suivant, il y a eu tant de chasse à l’homme surtout à l’emplacement de l’itinéraire du cortège de l’émir de Qatar ? Pourquoi un élément de la sûreté a-t-il demandé d’accompagner le criminel aux toilettes ?
Qui peut répondre à toutes ces questions ?
Qui a intérêt à faire fuir Son altesse Cheikh Hamed Ben Khalifa Al Thani, émir du Qatar avant la fin de sa visite alors qu’il se plaisait bien en Mauritanie, et pour preuve, il nous visite plusieurs fois l’année ?
Dah Ould Abdi…, nte hem !
Et l’ambassadeur oublié, monsieur Mohamed Lemine Salem Ould Dah, ancien ministre de Ould Taya, que vas-tu dire à ton retour à Doha ? Toi qui a tant crié les éloges de Maaouya Ould Sid’Ahmed Ould Taya, dans l’émission ‘Etijah el mouakiss’ contre Nati de l’APP ! Toi qui disais sur la même chaîne et sur le même plateau que la Mauritanie ne peut pas de se passer de son timonier Maaouya ! Peux-tu nous répéter cela aujourd’hui, excellence ?

Programme d’urgence de 28 milliards 100 millions d’ouguiyas :


Le président de la République monsieur Sidi Mohamed Ould Cheikh Abdellahi vient d’adresser un discours tant attendu à la Nation, pour annoncer des promesses qui s’ajoutent à d’autres.
On sait que le panier de la ménagère sera toujours vide parce que les 28 milliards 100 millions d’ouguiyas annoncés tombent entre les mains des mêmes rapaces et Sidioca, entre quatre murs, n’a ni la force ni le temps d’aller vérifier que ce programme va atteindre les populations récipiendaires.
Au lieu d’annoncer ces fonds, Sidioca aurait dû d’abord débarrasser la Mauritanie des gens malhonnêtes qui l’entourent au palais ocre.
Les Messoudivores, les Ba MBarrévores, les Ould Yalivores, les Zeinivores, les Ould Yahavores et tous les budgétivores de la République ! Etfou bihoum…
Le commissaire pour la Protection Sociale et la Sécurité Alimentaire, le très colonel Ould Boubacar qui a été oublié dans la liste de promotion des généraux, ne va-t-il pas être tenté de se venger en se sucrant et en faisant profiter ses frères d’armes dans la grande muette en améliorant les rations ?
Autre chose, la Sonimex ou la boutique magnétisée de Moulaye El Arbi ?
Alors que les gens s’attendaient à la distribution du sucre et du riz, voila que le nouveau directeur général à la zinzin, ferme magnétiquement les portes aux usagers et se retire dans son bureau rectangulaire pour compter l’énorme commission qu’il a empochée dans le marché de la réhabilitation et de la rénovation du siège de la Sonimex. Retour à la case départ. ‘We vi dhalika vel yetenavess al moutenavissoun’.

vendredi 4 avril 2008

Peur sur l’immeuble Brakna


Depuis une semaine, trois agents de sécurité privée commandés par Mohamed Ould Mahmoud un ancien gendarme et cousin du directeur général, monsieur Souédi Ould Salem, le RFD endurci, font régner une psychose généralisée sur le siège de la société de construction et de gestion immobilière (SOCOGIM).
Motif de cette précaution : la publication sur Internet d’une série de scandales éclaboussant le directeur général lui-même et son président de conseil d’administration monsieur Diallo Mamadou Bathia, en particulier dans l’affaire des billets de faux voyages remboursés à ce dernier par l’agence d’Une Air.
Dans son instinct d’insécurité, le directeur général Sidi Ould Salem redoute la mise à nu d’une nouvelle affaire de malversation et maltraite au passage, les employés de la société.
Après avoir limogé le vieux Mohamed Ould Deye du poste de chargé de mission, il vient de le sommer par une note interne de restituer des pièces détachées (calandre et autoradio) de la vieille tacot amortie qu’il lui avait retirée dans le cadre de son limogeage injustifié. Le vieux Ould Deye lui aurait rétorqué qu’il ne veut pas être le maillon le plus faible de la chaîne, ni l’arbre qui cache la forêt. Le chargé de mission serait en effet prêt à donner un calandre et une autoradio à la SOCOGIM, à condition que monsieur Bathia restitue à la société les biens détournés, surtout le dernier perdiem empoché pour assister à Paris à la journée "réseau francophone pour l’habitat". lol
Actuellement Souédi Ould Salem a les nerfs très tendus ! Normal parce que madame la Hakem de Tevragh-Zeina, vient de procéder au blocage de la construction de son projet de palace sur la route Nouadhibou pour défaut de permis de construire.
Une autre affaire l’oppose également en justice, au vieux de Chinguitti dont il a démoli la villa à Teyaret en complicité avec l’ancien ministre transitoire de l’Equipement, monsieur Ba Ibrahima Demba (BID). Les ennuis de l’homme du RFD n’ont fait alors que commencer. Ahmed Ould Daddah, nte vem ?

Affaire Ould Semane : les renseignements déroutés par une fausse lune de miel !


El Khadim Ould Semane, le selafiste actuellement recherché par les services de renseignements mauritaniens, est un véritable routier de la diversion.
Il a orchestré un nouveau cérémonial de mariage à Nouadhibou, alors que le contrat social qui le lie à son épouse actuellement dans les griffes de la Sûreté d’Etat à Nouadhibou, a été conclu à Nouakchott il y’a plus d’une année environ.
Fatimetou Mint Vayda, qui serait une diva de la mondanéité mauritanienne fait actuellement les frais de cette histoire théâtrale, à la brigade mixte de la gendarmerie de Nouakchott où elle est séquestrée pour ses beaux yeux, depuis plus d’une semaine. Les gendarmes de la brigade où elle est détenue se seraient livrés malgré eux, à un véritable pratique d’harcèlement sur cette miss Mauritanie, ce qui a occasionné une sanction contre l’un des éléments de cette unité pour son faible devant Mint Vayda, la vedette, Mohameden Kar, Nte hem ! Il est à préciser que cette dame n’aurait commis comme crime que d’être belle et d’avoir accueilli dans son domicile à Teyarett, sa tante qui n’est rien d’autre que la mère de l’épouse de Ould Semane. Mais aucune connexion entre Mint Vayda et le salafiste n’est prouvée, comme aucun mariage de Ould Semane n’a été conclu durant les dix derniers mois, ni à Nouakchott, ni à Nouadhibou.
Le malheur en Mauritanie, est la déliquescence totale, voire la corruption des services de renseignements. lol

mercredi 2 avril 2008

Prédateurs post-3 août 2005

Au temps du régime de Moawiya, la Mauritanie a sécrété une catégorie de personnes qui se sont enrichis démesurément en puisant dans les caisses de l’Etat.
Cependant cette catégorie de citoyens malhonnêtes a eu pour particularité d’être enfantée par un régime qui a permis une justice "distributive" dans le profit illégal. Tous ont profité, de la base au sommet, du berger Mamadou à l’homme d’affaire Guemine en passant par M’Barka la vendeuse de légumes et de couscous qui a vu son activité se développer dans l’abondance.
Mais le 3 août 2005, une nouvelle race de vautours est née avec la particularité de secréter deux types de prédateurs qu’on peut diviser en deux catégories : ceux qui sont dans le système et ceux qui profitent du système par exclusion de la majorité.
Commençons par la race de ceux qui sont ou qui était dans le système et qui ont pillé les biens de la Nation.

Le Colonel Aweiliyine Ould Hweichi, ex permanent du CMJD et actuel Directeur du centre des conférences

Le Colonel Sougou Fara, Chef d’Etat Major de la Garde Nationale pendant la transition

Le Colonel de la Gendarmerie Abdellahi Ould Ahmed Aicha, Directeur actuel du deuxième bureau

Mohamed Ould R’Zeizime, Directeur de la SMCP

Ould Hweibib, Directeur de la SNDE

Abdellahi Ould Souleymane, Ministre des Finances durant la transition

Mohamed Ould Abed, Ministre des Affaires Economiques et du Développement durant la transition

Sidi Mohamed Ould Sidina, Ministre des Pêches durant la transition avec pour prébende les commissions sur les accords de pêche Mauritanie/UE

Ba Ibahima Demba, Ministre de l’Equipement durant la transition peu démocratique chez lui avec les énormes commissions sur les contrats d’entretien des bâtiments de l’Etat

Mohamed Ould Mohamedou, Directeur Général des Douanes pendant la transition

Zeine Ould Zeidane, Gouverneur de la Banque Centrale pendant la transition

Tijani, Secrétaire Général du Ministère des Finances pendant la transition

Moulaye El Arbi, Directeur Général de la SONOMEX pendant la transition

Cheikh Sid’El Moctar Ould Cheikh Abdellahi, adjoint commissaire aux droits de l’homme, de la lutte contre la pauvre et de l’insertion pendant la transition

Suite dans notre prochaine édition avec la liste de ceux qui ont profité illégalement des largesses du 3 août 2005 à nos jours.

Quand Zinzin usurpe la fonction de porte parole de la Présidence, qui commande "là-haut" ?


Décidemment, le ridicule ne tue plus dans la République de Sidioca !
Avant le poisson d’avril, le mardi 31 mars 2008, a surpris les populations mauritaniennes très affamées en annonçant par communiqué du Premier ministre que le Président de la République monsieur Sidi Ould Cheikh Abdellahi va prononcer un discours à la Nation pour expliquer la hausse vertigineuse des prix des produits de base. Soit.
Mais ce rôle revient de juré comme de facto à la pléthore de conseillers principaux et de second rang (arrivage) de la Présidence. Citons-en entre autres monsieur Ba Abdoulaye (porte parole de Sidioca), Idoumou Ould Mohamed Lemine, le forgeron ancien directeur de l’éphémère journal El Moustagbel, Ahmed Baba Ould Miske, le champion en ex, ex, ex… devenu actuel, actuel, actuel…, Ould Cheikh Hadrami l’ex-wali, wali, wali… et du tristement célèbre Didi Ould Biye ex-ministre en tout et ancien compagnon de Abdellahi Ould Moctar (MAOA) .
Ces conseillers eux-mêmes, ont été pris au dépourvu en apprenant ce communiqué par la bouche du Premier ministre.
Ce communiqué très zinzin qui annonce les activités du Président de la République par la Primature, ne prélude-t-il pas au limogeage tant attendu de Zeine Ould Zeidane qui devient un phénomène et une source de mal pour le peuple mauritanien qui agonise au milieu de tous les aléas ?
La population elle-même, n’a que faire de ce communiqué : elle a plutôt besoin d’eau, de riz, de sucre et de farine.
Après le coup du retour mal négocié et mal préparé des réfugiés, voilà que zinzin détourne encore une fois l’attention des citoyens en leur annonçant le discours de Sidioca comme antidote !
On revient maintenant à la question : y’a-t-il une préséance entre le Président de la République, le Premier ministre et le Président de l’Assemblée Nationale ? Quel cafouillage ! Chacun veut être le seul maître. Mais maître de quoi, zinzins ?

Parti ADIL : l’assassin d’Air Mauritanie de nouveau dans la cabine de "pilotage politique".


Après avoir liquidé la SOMAGAZ, le projet énergie et la compagne nationale Air Mauritanie, Ould El Waghef est aujourd’hui entrain de tuer le projet de parti politique ADIL.
Ould El Waghef n’a apparemment aucun scrupule pour retourner sa veste !
Pour créer ce parti de "toutes pièces détachées", il fit appel à un sang nouveau en faisant investir, jour et nuit des gens compétents dans la campagne de sensibilisation qui a présidé à la création du parti.
Une fois ADIL mis en place, il nomma des gens qu’il avait gardés en cachette, et qui n’ont nullement participé à sa création.
Exemple : Que fait aujourd’hui Guemine Ould Cheiguer à la présidence de la commission nationale des jeunes de ADIL ? Et au nom du quoi, Mohamed Lemine devient-il secrétaire général et j’en passe.
De toute façon ADIL est appelé a disparaître plus tôt que prévu parce que, Waghef cet ancien agent du groupe MAOA est connu pour ses malversations avérées. Nte vem, Abdellahi Ould Moctar ?
Les contacts que multiplient les cadres et notables ressortissants du Hodh ont déjà miné l’action politique très médiocre et très circonscrite de Waghef le minable opportuniste de tous les temps. Inéluctablement, ADIL est voué à l’échec parce qu’il n’est fait que du faux et de l’usage de faux. Il porte mal son acronyme (ADIL). Il est loin d’être ADIL (juste). lol

Encore Ould Merzoug derrière un coup de harnos



On a appris, mieux vaut tard que jamais, et comme le dit bien le blog, Lakhbaar Tebgue Vi Dar, que le rapprochement entre Messoud et Sidioca au deuxième tour des présidentielles, était le fruit d’une négociation menée par Mohamed Salem Ould Merzoug alias monsieur nouvelle affaire de la langue de barbarie (vallées fossiles).
En effet, c’est Merzoug qui a obtenu de Sidioca, comme prix de ralliement de Messoud, le nombre de portefeuilles ministériels que ce dernier possède actuellement au sein du gouvernement et une durée de deux ans sans changement dans la configuration.
Au terme de ce même accord, Sidioca ne peut pas toucher aux ministres messoudiens durant deux années au minimum, sinon c’est le chantage : Messoud se retire du perchoir et crie à la trahison en appelant Khadafi.
Le mot d’ordre qui a été donné par Messoud à ses ministres est de s’enrichir très rapidement avant la prochaine campagne présidentielle pour préparer le terrain à une Mauritanie avec Messoud comme président de la République parce que ceci ne peut se faire que par l’accumulation maximale de biens.
Désormais, être messoudien rentre dans les mœurs : acheter des villas, se marier à tout vent et donner des miettes aux adouabbas pour qu’ils votent pour vous prochainement.
Dans tout ça, une question se pose : Quelle a été la commission de Merzoug ? Question pour un champion.