mardi 31 mars 2009

Elections présidentielles prochaines : y aura-t-il un deuxième tour ?


Nous sommes exactement à soixante six jours, avant le premier tour de l’élection présidentielle du 06 juin prochain, dans notre pays.
Si les différentes manifestations de soutien qui se sont déroulées en faveur du HCE, sont sincères dans leur élan actuel, nous seront au rendez-vous. Eh bien, les jeux sont faits et le général Mohamed Ould Abdel Aziz passera au premier tour, avec 70% des voix et un taux de participation maximal de 65%.
Les grandes lignes de son programme, telles qu’exposées dans les différentes étapes de son périple à l’intérieur du pays, sont connues : développement intégré focalisé sur les infrastructures (électrification totale du pays, approvisionnement en eau, axes routiers, renforcement de la couverture sanitaire, refonte du système éducatif, amélioration des conditions de vie des citoyens, justice pour tous, lutte sans merci contre la gabegie, renforcement de l’unité nationale, promotion des jeunes et des , programmes en faveur des souches les plus défavorisées à travers des approches pour mettre définitivement fin aux séquelles de l’esclavage) ; voilà en résumé, ce que sera le programme du général, candidat à la magistrature suprême.
Grâce à ce qu’il a fait en moins de huit mois, et que ses prédécesseurs n’ont pas fait en quarante ans, Ould Abdel Aziz sera plébiscité. Et c’est cette perspective de plébiscite inéluctable qui donne déjà, une "diarrhée électronique " 1000 baguettes à Taqadoumy. Entre temps, Messaoud le Hapnol peut faire les va-et-vient entre Nouakchott et Lemden, sans occuper les rues. Bedrechine, iInte vem,?
Deux décisions courageuses qui ont rassemblé tout le peuple mauritanien, toutes tendances confondues, resteront historiques, à savoir l’expulsion sine die du représentant diplomatique de l’entité sioniste sur notre territoire, et le règlement définitif du passif humanitaire, accepté par toutes les parties concernées. Qui peut faire mieux ? Personne. Quoi qu’on en dise, Ould Abdel Aziz a déjà conquis tous les cœurs de toutes les communautés mauritaniennes.
Les prochains candidats à la magistrature suprême du pays, auront beaucoup à faire pour imaginer un programme acceptable pour le pays, parce que tout est déjà fait, par le général chef de l’Etat.
En plus, même sans avoir été élu pendant la transition, son bilan est déjà hautement positif, en ce qui concerne la stabilité des prix et la sécurité intérieure.
La question qui reste posée est de savoir est-ce qu’il y’aura un deuxième tour. Tout dépendra du nombre des candidats et de leur crédibilité…
Un autre point demeure aussi en suspens : celui de la conduite de notre administration pendant le scrutin, étant données sa versatilité et ses magouilles légendaires. Sera-t-elle à ce rendez-vous si important pour l’avenir et la stabilité de notre pays ?
Et le gouvernement de Moulaye, que deviendra-t-il ? Comment seront-nous gouvernés pendant les 45 jours ?
En tout cas, le poste d’ambassadeur à Bruxelles est toujours vacant. Moulaye, le mauritano-belge ne chômera pas peut être. Mais, bon débarras pour la Mauritanie.

Les prochains orphelins du mouvement rectificatif.

Il est quasi établi que le gouvernement du HCE va démissionner et ne sera pas donc, au rendez-vous du 06 juin prochain. Et même s’il ne démissionne pas, il ne fera pas partie du futur orchestre, après le 06 juin 2009. Où iront donc les ministres de Moulaye ?
Vous verrez, ils moisiront dans les salons de Nouakchott, sans aucune visite, même de courtoisie, soit-elle. Le mauritanien oublie vite, surtout ceux qui l’ont mal gouverné.
Ahmedou Ould Michel, Ould Moine, Ould Abdel Maoula, etc., ont intérêt à réfléchir parce que leur avenir, n’est pas assuré du tout et ils ont mal servi, pendant cette transition qui s’achève.
Ils oublient qu’en montant les escaliers, on ne doit pas oublier ce qu’on a laissé en bas, parce qu’on y retournera, un jour ou l’autre.
Certes, ces messieurs sont aujourd’hui inaccessibles, super gardés et dédaignent le public, en rejetant toute demande d’audience. Mais rien n’est éternel. Bientôt donc, il leur sera difficile de trouver quelqu’un avec qui partager un thé. Aujourd’hui, on les désigne sous le sobriquet de Mana Syab (on n’a pas le temps).
Dans quelques semaines, ils seront remplacés par d’autres gens issus du milieu des laudateurs, très proches de leurs prébendes politiques.
Quant à monsieur Ould Melainine Ould Tomy, la momie égyptienne dircab-protocole d’Etat, sachez, que vous allez bientôt retourner à votre repos immérité. Comment peut-on servir loyalement Ould Taya, soi-disant, durant trente années, fidèlement et faire de même à d’autres ? Ley, Tomy.

samedi 28 mars 2009

Prière à la mémoire des disparus : qui était derrière l’imam ?


La scène se déroula bien sûr au Gorgol, dans une wilaya chargée d’histoires de passif humanitaire et autres contestations interminables, quand le général Mohamed Ould Abdel Aziz, chef de l’Etat prit la décision, on ne peut plus courageuse, de concilier les mauritaniens avec eux-mêmes, par le règlement définitif de cette question qui dépasse aujourd’hui les frontières nationales, pour devenir une arme politique, et surtout un fonds de commerce juteux pour certaines ONG nationales et autres partis politiques mauritaniens, qui prennent l’eau, de tous les cotés.

Puis, vient ce jour de mars 2009, quand toute la Mauritanie se réconcilia à travers une prière collective, à la mémoire des victimes d’une répression qui serait semble-t-il, arbitraire durant les années 90, 91.

Tout le monde a vu ce jour-là, à la TVM (Télévidéo de Mauritanie), les gens, qui étaient en première ligne de cette "prière de l’absent" (disparus).

Mais que faisaient-ils, ces gens-là ? Au nom de qui et à quel titre ?

Ce n’est pas parce qu’on est consul général à Dakar, et qu’on s’appelle Cheikhna Ould Nenni, beau parent de Ghazouani, général autoproclamé, qu’on doit occuper la place du fguih. Même s’il est consul général à Dakar, Cheikhna Ould Nenni, restera toujours Cheikhna Ould Nenni. D’ailleurs, Cheikhna Ould Nenni et le dossier des veuves est une affaire à suivre et d’autres passifs humanitaires concernant cet homme sont enterrés, loin de la région du fleuve.

La première rangée de cette prière n’était pas du tout représentative de la Mauritanie, parce que, en pleine prière, il y’avait des rires et des blagues animées par le ministre du pétrole, monsieur Die Ould Zeine, qui parlait avec ses jassouss et autres copains du temps de la direction des impôts. Ley.

Apparemment, le directeur du protocole ne savait pas ce qu’il faisait, et ce n’est pas LTV qui fabrique tout ça. C’est TVM qui l’a diffusé en direct. Vérifiez vous-même : dans TVM tout est enregistré, parce que tout est télévidéo.

Nos héros sont des hypocrites, qui jouent même avec la mémoire des morts. Quelle honte ! Apparemment, ils ignorent l’adage qui dit : « aux morts, on doit le respect et aux vivants on doit la vérité ».

L’autre imbécile de la prière, qui se trouvait lui aussi en première ligne, est Mohamed Lemine Ould Mohameden Ould Dadde, cet ancien éleveur de chiots au cinquième (Sebkha), vers la fin des années 80, quand il fut découvert, comme un enfant abandonné, par une vieille touriste française, qui l’amena dans l’Hexagone. C’est ainsi qu’il devint communard banlieusard, sous la bénédiction de Jemal Ould Yessa, le parrain athé de "conscience et résistance" organisation politique électronique, aujourd’hui recyclée en Taqadoumy-subversion, sur le sol mauritanien.

Mais peut importe tout cela, ce qui est inacceptable, c’est de voir ce communard à la première rangée de prière, dans une république islamique d’un million de fguihs (érudits). C’est peut-être même la première prière de Ould Dadde ! Qui sait ? Ce n’est pas cette armada des fumiers présents à la prière de Kaédi, qui vont si vite faire oublier le passif humanitaire dans notre pays.

Mohamed Ould Abdel Aziz est bon, on ne le répétera jamais assez, mais il est mal entouré, même pendant cette prière politique qui se déroula, au milieu d’une immense explosion de joie, sous les signes de la réconciliation nationale.

UA : est-ce le début de la fin du club des mendiants ?


L’Unité Africaine (UA), qui a remplacé l’OUA à la conférence d’Alger en 1999 sur instigation du colonel Kadhafi, a ramené l’Afrique 20 ans en arrière et, on a rien vu des belles choses promises. C’est au contraire, la désintégration économique la plus totale.

Des conflits sont allumés partout en Afrique, et se sont multipliés à une vitesse lumière (grands lacs, Erythrée-Ethiopie, Tchad-Soudan, Niger-Touaregs, Mali-Touaregs, Cote d’Ivoire, Somalie, Kenya, Zimbabwe, Centrafrique, Cameroun-Nigeria, etc.)

Les coups d’Etat, sont devenus à la mode et au lieu d’avoir une stratégie de prévention des conflits et des coups d’Etat, l’UA joue le médecin après la mort en faisant des bras de fer inutiles avec les instigateurs des putschs.

On entend souvent monsieur Jean Ping menacer les auteurs des coups d’Etat, de sanctions, qui ne verront jamais le jour.

Le patron de l’UA, monsieur Kadhafi n’a pas les moyens de sa politique, ni de ses déclarations et ses comptes sont rouges, depuis la naissance de l’UA, ce club de farfelus.

On prend du temps dans les réunions et les cérémonies fanfares, pour compléter le tableau du sous développement, à un moment où la situation planétaire à elle seule, rend plus fou que les fous eux-mêmes.

Aujourd’hui, l’Union Africaine est une union du ridicule parce que tous les Etats membres cherchent de l’argent. Si Kadhafi n’en donne pas, on se tourne vers l’Algérie ou le Nigeria.

Quand Kadhafi a refusé de donner la cotisation de tous les Etats membres, et de l’argent à l’ambassadeur du Bénin à Addis-Abeba et à Jean Ping, pour ses soirées arrosées, ces deux badauds, ont organisé une réunion extraordinaire du conseil de paix et de sécurité pour désavouer Kadhafi sur les dossiers de la Mauritanie, et ont même menacé de destituer le roi des rois qui n’a même pas encore régné sur l’Afrique "traditionnelle". Quand le ridicule ne tue plus…

Office National de la Médecine du travail : silence, le docteur Ghazouani broute, ne le déranger surtout pas.


L’Office National de la Médecine du Travail (ONMT) est une belle planque, pour le docteur Ghazouani, petit frère du général, chef d’Etat Major.

L’homme est reconnu dans les milieux de la médecine, par son incompétence notoire, mais, il a un atout : celui d’être le frère de l’ex-colonel DGSN, Ghazouani, ce spécialiste du trafic d’influences qui l’imposa à la tête de la direction juteuse de l’Office National de la Médecine du Travail. Quelle rectification est-on entrain de faire, quand on impose son propre frère ? Pourquoi ne pas s’inspirer du cas de la Guinée Conakry, quand le chef de la junte Daddis Camara, s’est mis en colère parce que l’Etat a donné à un membre de sa famille, une licence d’importation d’hydrocarbures. Non seulement l’homme fort de la Guinée annula cette facilité, mais il présenta des excuses publiques au peuple guinéen. Pourquoi Ghazouani ne l’a-t-il pas fait, lui qui a imposé Ali Fall comme secrétaire général éternel et l’actuel directeur général de la SONIMEX, que rien ne prédestine à ce poste ?

Au lieu que l’ONMT soit actuellement visité par les patients, se sont des fournisseurs tieb-tieb qui défilent à longueur de journée, devant le directeur administratif Brahim le filou, pour paiement de services non faits ou de matériel non livré.

Pendant ce temps, docteur Ghazouani nargue le HCE et l’IGE (Inspection Générale d’Etat) parce que, dit-il, il est le frère du chef de l’Etat Major.

Les limiers de l’inspection générale d’Etat ne peuvent même pas avoir l’idée de passer devant l’office de Ghazouani, qui est certes imposé à ce poste. Mais, le général N°2 du HCE, sait-il que son frère de médecin, s’est spécialisé en tieb-tieb.

Comme tout bon boussati, Ghazouani le médecin, diversifie ses fournisseurs, pour avoir plus de commissions…

Les habitants voisins de l’office s’étonnent : on ne cesse de nous casser les tympans avec l’assainissement et la lutte contre la gabegie, alors que Ould Ghazouani ne fait que ça ! Y’a-t-il deux poids deux mesures ? Faut-il être un Ghazouani pour être immunisé ? Quand est-ce que ça va durer tout ça, messieurs les Ghazouani et consorts ?

L’inspecteur général, monsieur Sidi Ould Ahmed Deya, est-il au courant de l’existence de l’Office National de la Médecine du Travail, avec un budget autonome énorme et facile à décaisser ?

En tout cas, une chose est sûre : docteur Ghazouani se moque éperdument de l’Inspection Générale de l’Etat, au grand dam des orientations du chef de l’Etat, le général Mohamed Ould Abdel Aziz. Jusqu’à quand ?

LTV quant à elle, restera sur les traces du directeur administratif du médecin Ghazouani, surtout pour mentionner les surfacturations et autres malversations. A suivre…

WANTED


A la liste des wanteds de LTV (BOS, Ali Fall, (ou plus exactement Ali Diambar) le fameux SG prédateur du ministère de l’Education Nationale ère CMJD, exerçant aujourd’hui la même fonction de Moufcid au Développement Rural), nous ajoutons le nom d’un fossoyeur intercontinental, en l’occurrence Sidi Mohamed Ould Moine, le faux docteur "assassin" de la SONADER.

Aux dernières nouvelles, Ould Moine serait entrain de déposséder les oiseaux migrateurs du Ban d’Arguin, de leurs bagues en or. Il serait épaulé au Ban d’Arguin, par son comptable Ould Ndary, qui a la philosophie d’El Vessad, dans le sang

mardi 24 mars 2009

Visite du chef de l’Etat à l’intérieur du pays : les promesses des ministres seront-elles tenues ?


Au cours de sa visite à l’intérieur du pays, le général Mohamed Ould Abdel Aziz était accompagné par plusieurs ministres.
Parmi eux, Edi Ould Zeine, le ministre du pétrole et de l’Energie ; à le croire, toute la Mauritanie sera électrifiée, en moins de 20 jours.
Les ampoules de recharge, rivaliseront avec les robinets, dans tous les coins des foyers, dans les contrées les plus reculées de la Mauritanie.
Il se gratte la moustache deux fois, avant de parler devant la populace, comme s’il se préparait à un gros mensonge.
En tout cas, cette fois, il lui sera difficile de ne pas tenir promesse devant le général, qui ne badine pas avec les faux ministres. Vive le général pour trois mandats, successifs (deux prévus par la constitution et le troisième sera une exigence du peuple…). Taqadoumy, inti vem ?
Un autre monsieur-promesses est le commissaire chargé des droits de l’homme : le Nseirani-arrivage, Mohamed Lemine Ould Dadde, qui lui, trouva une astuce originale.
Ould Dadde dormait pendant les différentes interventions du général et il se réveille toujours à la fin, pour dire qu’il va réaliser telle ou telle chose, mais en collaboration avec tel ou tel ministre. Ley.
"Monsieur droits de l’homme", promet tout en une seule fois : de l’eau, du mais, du pain, des anticipées, l’alphabétisation des adwaba, etc. En tout cas, ces derniers l’attendent au tournant.
Un autre gros menteur est le ministre du commerce, de l’artisanat et du tourisme, monsieur Ould Dermane, ce fils de chauffeur de haye esakine.
Tous les forgerons l’attendent au virage, parce qu’il a promis des foires partout, même à Foum Gleita.
Un autre membre de la délégation qui aurait pu avoir beaucoup de chose à dire, parce qu’il a beaucoup de chose à distribuer réellement, est resté muet comme une carpe, durant toute la visite dans le triangle de la misère : vous avez deviné, parce qu’il s’agit bien du commissaire à la sécurité alimentaire et de la protection sociale.
En tout cas, ces ministres-promesses toutes faites, doivent savoir que la Mauritanie a changé ; ce n’est plus la période où on promet et on oublie avant de plier les tentes de l’accueil.
Une chose est acquise, cependant : les populations visitées demandent à Ould Abdel Aziz de se présenter et promettent de voter pour lui. Tiendront-elles leurs promesses dans ce triangle de la désolation ? Rien n’est moins sûr, étant donné la versatilité de nos gens. Vive le général Ould Abdel Aziz, pour trois mandats successifs ! Messaoud, inte vem ?

LTV recherche BOS


A tous les internautes du pays, nous lançons un avis de recherche pour B.O.S (Bah Ould Saleck). Faites nous savoir s’il vous plait, sa nouvelle adresse.
Cette éminence grise jouerait actuellement au clando, depuis l’élection de Sidioca en 2007, dont il avait en charge, la promotion de l’image de marque.. Après l’élection de Sidioca, BOS n’est pas encore sorti de son hibernation.
Aux dernières nouvelles, il y’a son initiative mort-née : "sauvons la Mauritanie".
LTV invite BOS à mettre sa plume au service de notre chère Mauritanie, pour la sauver du danger et des sidiocaries étrangères qui la guettent. BOS est fort pour ça…
LTV lance également un avis de recherche pour monsieur Ali Fall, l’ex-Secrétaire général prédateur du ministère de l’éducation nationale pendant l’ère du CMJD. Il occuperait actuellement la même fonction de SG au ministère du développement rural, en collaboration avec sa ministre bien aimée. Il se dirait aussi être le protégé dans l’ombre, d’un général très influent, membre du HCE.
LTV va bientôt publier une enquête sur les agissements malhonnêtes, voire mafieux de cet homme.

lundi 23 mars 2009

Excuses imméritées à la presse mauritanienne et Taqadoumy continue sa publicité pour le DGSN ?


Voilà du jamais vu : on présente des excuses à un criminel en limogeant le procureur de la république !
Ould Moine, le fils à papa, a finalement trouvé quelque chose pour meubler son temps, à la présidence de la république, depuis qu’il a été débarqué du ministère de la communication.
Ce jour-là, une idée lui est venue à la tête de présenter des excuses au nom du chef de l’Etat, à la presse peshmerga en général, et à Taqadoumy en particulier…
Depuis quand et au nom de quelle déontologie, la victime présente-t-elle des excuses à son agresseur ?
De telles excuses ne feront qu’encourager les mercenaires de la presse électronique qui utilisent le principe de la libre expression, pour faire des atteintes à la sureté de l’Etat, en publiant des fausses informations sur la direction de la sureté nationale et les différents corps de l’armée.
Dans aucun pays du monde, aussi libre et démocratique soit-il, on n’accepte ce genre de publications.
Le phénomène Taqadoumy, par exemple, aurait pu provoquer une guerre entre la Mauritanie et son voisin éternel, le Mali.
De même, l’enquête sur l’armée, fausse ou vraie, doit être punie par pendaison, alors qu’on vient de présenter des excuses pour un criminel, qui a violé le secret de la défense !
Le chef de l’Etat, à beau choisir une pléthore de conseillers, mais il reste visiblement mal entouré.
Il est grand temps, on ne le répétera jamais assez, de mettre de l’ordre dans ce qu’on appelle, les conseillers et chargés de missions à la présidence.
Sur la presse mauritanienne, le chef de l’Etat n’a dit que la vérité, bien que toute vérité ne soit pas bonne à dire !
La presse est libre de publier tout ce qu’elle veut. Elle peut aussi mentir si elle le veut. Peu importe, la liberté de presse est toujours préservée…
Les propos du général, n’ont rien de méchant ni d’insultant : ils reflètent d’ailleurs, parfaitement l’état des lieux de la presse mauritanienne. Ce n’était donc plus la peine d’y revenir, pour s’excuser.
S’il y’a excuses, c’est à la presse mauritanienne de les faires à ses victimes quotidiennes. D’ailleurs, Ould Abdel Aziz sait-il que, la vraie presse mauritanienne professionnelle a baissé les bras depuis belle lurette, quand Sidioca, dans une volonté de l’étouffer, l’a fait remplacer à l’imprimerie nationale, par une presse de "pièces détachées", celle des peshmergas qui vous accompagnent actuellement, pendant vos périples à l’intérieur du pays, en "pêchant" dans les poches des membres de votre délégation et s’agrippent aux notables locaux, pour quémander un peu d’argent.
Mohamed Ould Abdel Aziz, a une vision objective sur la Mauritanie, pour construire un Etat Nation, par rupture avec l’Etat tribalo-familial clientéliste et doit, dans cette conception générale de l’Etat, encourager l’émergence d’une presse crédible, professionnelle et surtout civique. Ce sera l’occasion de se débarrasser d’abord de la HAPA et de la direction actuelle de la presse écrite, héritées des anciens régimes.
Mais la guillotine attend-t-elle inéluctablement Taqadoumy, le site fourre-tout, qui devient une tribune pour la déstabilisation de l’Etat ? Rien n’est moins sûr, si l’on sait que ce phénomène électronique vient d’étendre son intoxication aux enregistrements ultraconfidentiels, liés à la sureté de l’Etat. Mademoiselle Taqadoumy, tout n’est pas publiable, déontologie oblige. La reprise autorisée de Taqadoumy est-elle peut-être un piège pour identifier les traitres qui l’alimentent à distance et qui sont dans les secrets de l’Etat ? De toute façon, comme on dit, Lakhbaar tebgue vidar, et personne n’empêchera Taqadoumy de continuer à illustrer, preuves à l’appui, les compétences du directeur général de la sureté Nationale en matière de renseignements (enregistrements, parades et autres méthodes…). Que la guillotine ne tombe pas sur Taqadoumy, avant la consécration pour le général DGSN !

mercredi 18 mars 2009

Nominations aux affaires étrangères : méthode ancien régime


On apprend de sources proches du quai des dunes (ministère des affaires étrangères), qu’un mini mouvement a été opère au sein de certaines missions diplomatiques, en toute clandestinité, au terme duquel, Mohamed Ould Taleb, l’émir chouara (prince des poètes) a été nommé comme premier conseiller de l’ambassade de Mauritanie à Damas. Mais que fait cet émir des poètes dans le pays de Nizar Ghabani ? Ce ne seront pas en tout cas, ses talents poétiques, qui vont l’aider dans ces tâches diplomatiques, parce que l’homme est loin d’être du sérail : il ne connaissait même pas l’emplacement du ministère des affaires étrangères (quai des dunes).
Le fils de Moustapha Ould Mohamed Saleck dit Ould Oualati, le tombeur de feu Moctar Ould Daddah, a été lui aussi nommé comme premier conseiller à Sana au Yémen, pour dit-on, espionner le MINT des Mint, en l’occurrence l’ambassadeur Mohamed Lemine Salem Ould Dah.
Au Caire, c’est le fils du député du Koubeni, un enfant marginal, qui a été nommé comme premier conseiller.
Voilà comment le HCE entend dynamiser la diplomatie mauritanienne, par les temps qui courent.
On aurait pu faire d’autres cadeaux à ces messieurs, en leur offrant des jouets d’enfants, des voitures de sport ou des salles de cinéma ! Au lieu de leur confier notre diplomatie…
Que peut faire un fils à papa, complètement ignorant, pour rehausser l’image de marque de la Mauritanie menacée par l’extérieur, en connivence avec le FNDD aujourd’hui allié du RFD, et ils sont très efficaces et actifs du reste. Il faut le reconnaître.

Mine de Moghrein : l’enfouissement du poison est-il légalisé ?


Les sociétés étrangères qui se succèdent à Akjoujt, de la GEMAK à MCM, continuent non seulement de piller à ciel ouvert, notre or et notre cuivre, au vu et au su des plus hautes autorités du pays, viennent de renforcer leurs semences de la mort.
On sait qu’elles rejetaient leurs matières empoisonnées, qui ont servi de séparer l’or du sable, à 3 kilomètres à l’ouest de la ville d’Akjoujt, en les déversant dans le barrage de Ould Christophe.
Il est établi depuis longtemps, que ce poison peut traverser des milliers de mètres de profondeur, et autant en largeur. Ce qui empoisonne obligatoirement et les nappes souterraines, et les pâturages, provoquant la mort lente mais sûre des hommes et des de la région. Donc la mort attend aussi les générations futures.
Ayant noté la prise de conscience par les jeunes d’Akjoujt, du danger qui guette chacun, la société MCM, en connivence avec le ministre des mines, monsieur Ould Loudda, représentant les autorités, vient de décider l’ensevelissement des ces matières mortelles à 3 km au sud-ouest de la mine. Mais en tel déplacement ne change rien à la mort et aux dégâts. Le poison fera toujours semer la même horreur. A suivre.

Brahim Ould Abdallahi désavoue la ministre des Affaires Sociales, de l'Enfance et de la Famille.


Dans la nuit du 17 mars 2009, la ministre de la famille, madame Selama Mint Cheikhna Ould Lemrabott, a organisé une cérémonie pour la commémoration de la fête de la femme, dans les locaux de la commission nationale de l’UNESCO à Nouakchott, et a prononcé un mot à cette occasion.
Monsieur Brahim Ould Abdallahi représentant de cette commission, a vivement critiqué la ministre en soulignant l’incohérence et la mauvaise qualité de sa prestation : « c’est indigne du pays d’un million de poètes et de lettrés d’écouter un discours aussi médiocre, que le vôtre, madame, dit-il ».
S’agissant de la politique, Ould Abdallahi a conclu, en disant devant un parterre de ministres et de personnalités différentes : « j’ai déjà écrit que la Mauritanie a connu trois hommes politiques : Moctar Ould Daddah, Moaouiya et Sidi Mohamed Ould Cheikh Abdallahi : Moctar Ould Daddah était un homme d’Etat, Moaouiya, un homme d’autorité et Sidi Mohamed Ould Cheikh Abdallahi est un homme de Khattou… »

lundi 16 mars 2009

Commission hébergement délégation de Kadhafi : Ould Guig trempé jusqu’aux oreilles avec les chanteuses, rappeuses et rockeuses.


LTV a appris, de sources proches de Ba Madine, le président de la commission d’hébergement de Kadhafi et suite, que Mohamed Lemine Ould Guig, le très "impuissant" ministre secrétaire général de la présidence du HCE, a octroyé à madame Ghlana Mint Elgharnabi, un marché juteux concernant des appartements meublés fictifs, pour plusieurs dizaines de millions d’ouguiyas.
On sait que Ould Guig a favorisé cette Ghlana déjà, du temps où il était premier ministre sous Ould Taya, en lui accordant une centaine de millions d’ouguiya, par le truchement d’une éphémère, pour ne pas dire imaginaire agence de voyage (Biyé Voyages), que dirigeait son copain, Ahmed Ould Abba, le griot en rupture d’instruments, actuellement vendeur de cartes de recharge à Mauritel mobile.
Et voilà, aujourd’hui Ould Guig qui récidive, avec la même Ghlana. Ley.
Puisqu’on parle maintenant de l’assainissement de biens publics et de la lutte contre la gabegie, pourquoi ne pas faire la lumière sur les pratiques de ce Ould Guig durant la visite de Kadhafi à Nouakchott, et même du temps où il était commissaire à la sécurité alimentaire (CSA). On se souvient que Ould Guig a recyclé des hangars en villas à l’Ilot K extension. Demandez à Dié Ould Hamady, son dircab de l’époque, ou bien à Chrif Ahmed Ould Khattry, sénateur actuel de Djiguenni, et ils vous diront (s’ils sont honnêtes), que SOMITEL a présenté toute une liste de cousins de Ould Guig, pour obtention de maisons à la SOCOGIM, et que cela a été fait !
Ould Guig a dit au revoir à son honnêteté intellectuelle dès son accession à la primature et même avant, quand il fut renvoyé par Sghair Ould Mbareck, comme un connard, de la chair de la faculté de droit, de l’université de Nouakchott.
L’homme possède aujourd’hui des dizaines à Nouakchott, avec des prête-noms aussi variés que ses neveux : Ala, N’dida et même les sobriquets des vaches de Oualata. C’est un vrai moufside qui ne peut pas cohabiter avec Ould Abdel Aziz. C’est une erreur, qu’il faut rectifier comme le mouvement du 06 août.
Quand vous le voyez de loin, vous avez l’impression d’être devant monsieur propre, mais à l’intérieur c’est un grand truand en fait, peu respectueux de la chose publique.
Certes, le scandale des appartements fictifs de Ghleina, a été révélé par Ba Madine qui n’a pas voulu tremper dans les magouilles de Ould Guig. Mais ce Ba Madine, n’est pas aussi propre qu’il le pense. C’est dire que Ould Abdel Aziz n’est pas malheureusement bien entouré.
Machiavel disait, que le Prince est bon, mais qu’il est mal entouré.
Qui a choisi l’entourage ? On n’est pas obligé de s’entourer de malfrats… Quand il devient conscient de la nécessité de se débarrasser de certains malfrats, il le fera peut-être un jour, et les exemples ne manquent pas.
Voilà la question qui se pose dans les salons de Nouakchott et même à Tintane : Ould Abdel Aziz est bien, mais il est mal entouré. Vivement un coup de balai, général, sans oublier les parlementaires frondeurs surtout.
cliquez aussi, général, sur ce lien http://ouldguig.skyrock.com/ pour visiter le blog de Ould Guig,. Ça danse bien sur cette adresse. Ghlana, inti vem ?

vendredi 13 mars 2009

Les cinq vérités de Kadhafi.


LTV révèle d’abord à ses visiteurs ce que le président Libyen Mouammar Kadhafi, président en exercice de l’Union Africaine, a réellement dit aux uns et aux autres, pendant son séjour à Nouakchott, après avoir stoïquement, entendu les protagonistes de la crise politique en Mauritanie, tant en Libye qu’à Nouakchott.
Très franchement, le guide de la Jamahiriya n’a pas mis de gants, et a répondu aux uns et aux autres, en concluant sur les cinq vérités suivantes :
1) A l’adresse du HCE :
« Mon séjour parmi vous dans le Bilad Chinguit, m’a permis de me rendre compte qu’il n’y a pas eu réellement de coup d’Etat le 06 août 2008. Vous avez été d’ailleurs, très inspirés en le nommant "mouvement rectificatif". C’est même très, très bien rectifié. Mais si vos adversaires tiennent à l’appeler coup d’Etat, tant mieux, parce que, c’est pour la première fois qu’il y ait en Afrique un coup d’Etat civilisé, laissant en place les institutions démocratiques, les partis politiques et la liberté de presse. Si le HCE continue cette transition exemplaire, la Mauritanie n’en sortira que grandie, après le 06 juin 2009. »
2) Au sujet du FNDD :
« Messieurs du FNDD, sachez d’abord que moi Kadhafi, je suis maintenant à Nouakchott... Donc vous n’êtes pas entrain de raconter des histoires hors des frontières mauritaniennes, comme vous en avez l’habitude. Sachez aussi que je possède les preuves et documents que voici, et qui justifient le mouvement rectificatif.
Jean Ping n’a jamais cherché à faire du travail de terrain en Mauritanie, parce que, selon mes informations, il s’est tout juste contenté chaque fois, d’un thé citron concentré à l’hôtel Tfeila. Mais ce Jean Ping sortira bientôt de sa gueule de bois, quand je l’aurais rencontré !
D’autre part, les vrais protagonistes de la crise, c’est Sidi Mohamed Ould Cheikh Abdallahi et le HCE, et entre les deux, c’est réglé, dès le moment où l’ex-président, sait maintenant, (et mieux vaut tard que jamais), que son pays n’est pas à son premier coup d’Etat. Sidi Mohamed Ould Cheikh Abdallahi a été certes très manipulé par vous-mêmes, messieurs du Front autoproclamé, mais il reste cependant convaincu, qu’on ne peut pas revenir à la case départ, pour ramener feu Moctar Ould Daddah et tous les autres anciens chefs d’Etat ».
3) A l’adresse de Boidiel :
« Monsieur Boidiel, vous êtes président du parti ADIL, mais ce parti n’existe que de nom, parce que, ceux qui l’ont fondé et qui en constituent la base, sont avec Ould Abdel Aziz et le HCE. Quant à la crédibilité de votre cause, rendez d’abord à la CNAM 120 millions d’ouguiya, appartenant aux pauvres mauritaniens et on verra. »
4) A l’adresse de Messaoud à l’aéroport de Nouakchott, le jour du départ du guide, pour la Libye, via Guinée Bissau.
« Venez ici, monsieur Messaoud ! Pourquoi avez-vous quitté le palais de congrès, alors que j’étais en plein discours devant toute la République Islamique de Mauritanie ?
Vous avez oublié peut être qu’on était à Nouakchott et pas à Tripoli, où on vous a toujours gâté, en vous donnant nos pétrodollars. En Mauritanie, il parait que vous n’êtes qu’un hapnol, et je n’ai pas encore compris ce que cela veut dire ! Pouvez-vous m’expliquer cela ?
De toute façon, je vais vous dire ici, avant de monter l’avion, de ne pas vouloir continuer à utiliser l’étranger pour déstabiliser votre pays..
Je sais maintenant que vous êtes très inquiet, parce que votre fonds de commerce, en l’occurrence l’ex-président Sidioca n’existe plus. Alors profitez des prochaines élections du 06 juin, pour faire connaître réellement votre base. Ces élections seront crédibles, parce que l’OUA et le monde entier vont les superviser.
Un dernier conseil, monsieur Messaoud : ne comptez jamais sur l’étranger pour régler les problèmes intérieurs, cela vous ôte toute crédibilité à l’intérieur de votre pays. Ne comptez même pas sur Obama, parce que ce n’est pas lui qui dirige les USA, c’est le Pentagone et ce dernier, n’a pas le temps de la Mauritanie.
Alors, Messaoud, revenez à la raison, avant que Ould Abdel Aziz ne vous enchaine, pour vous jeter à la mer comme une ordure. Vous savez très bien qu’il s’est déjà débarrassé des hommes, beaucoup plus grands et plus redoutables que vous. C’est un conseil d’ami.. Au revoir hapnol (rires…) »
5) A l’adresse de Ould Maouloud et Ahmed Sidi Baba :
« Ah, vous encore, vous êtes des antagonistes de la crise mauritanienne ? Si chacun veut être antagoniste de cette crise, la Mauritanie ne sortira jamais des antagonismes. Qu’est-ce que vous voulez réellement faire de votre pays ? Mais, messieurs les francophiles, je sais que vous faites tout pour faire échouer ma médiation. Je vous assure cependant que, après le 06 juin 2009, quand le peuple mauritanien aura choisi son président, je convoquerais une réunion extraordinaire du conseil de paix et de sécurité, de l’Union Africaine, pour annuler ce que vous appelez sanctions. Vous verrez en ce moment-là, si ma médiation a réussi ou non ! »

Quand Ould Abdel Aziz force l’estime du guide de la Jamahiriya, il peut déjà faire la précampagne.


Mohamed Ould Abdel Aziz, est un patriote de première heure et officier compétent, qui a déjà servi et bien servi la Mauritanie.
Il est aujourd’hui entrain d’éliminer les terribles mafias de la bourgeoisie compradore, habituée à l’argent facile, sur le dos du contribuable mauritanien, parce que composée d’éléments traitres et irresponsables, qui travaillent pour consolider les intérêts étrangers.
La visite que vient d’effectuer le président de l’Union Africaine en Mauritanie en compagnie des différentes délégations étrangères, a permis à tout ce monde, de se rendre compte que depuis le mouvement rectificatif, la Mauritanie est aujourd’hui entrain de connaître des grandes mutations, pour devenir maîtresse de ses ressources naturelles, et opérer ainsi un grand virage vers le développement durable.
Certes, cette mafia a juré d’avoir la tête du général à tout prix, en se liguant avec les puissances étrangères, au prix des intérêts supérieurs de la Nation, grâce au montage de faux problèmes par la provocation de crises (refus de l’importation, sabotage, spéculation, etc.).
Le peuple mauritanien, devra aujourd’hui saisir cette opportunité historique, d’avoir un dirigeant propre, capable de propulser l’économie du pays et de préserver l’unité nationale, par une meilleure répartition des biens publics et l’égalité de tous devant la justice.
Une fois élu, après cette transition non souhaitée, mais qui s’est imposée à cause de la mauvaise gestion par le président déchu, Ould Abdel Aziz est capable de former un gouvernement ouvert à tous les partis et décideurs politiques. Les intentions du général sont claires et preuves à l’appui, parce que l’homme, cherche réellement la stabilité politique et sociale, en associant tous ses concitoyens et concitoyennes, à la gestion des affaires du pays.
Contrairement à toute la classe politique actuelle, l’homme du 06 août 2008, privilégie la solution de tous les problèmes mauritaniens par les mauritaniens, quels qu’ils soient, surtout en ce qui concerne le passif humanitaire, la couverture sanitaire, l’approvisionnement des populations en eau potable, en milieu rural ou urbain, la refonte du système éducatif et la résorption du chômage, par une politique de lutte contre la pauvreté, loin des documents fallacieux, sans lendemains et la démagogie des anciens régimes.
La Mauritanie a besoin d’un homme à poigne comme Ould Abdel Aziz, et la vraie bataille pour l’avenir de la Mauritanie, commencera, au lendemain du 06 juin prochain, qui sera un exercice électoral transparent, et expressif de la volonté populaire, pour mettre fin aux pratiques de corruption, de favoritisme et de gabegie.

Zinzin trempe de nouveau sa tête dans la politique.


LTV apprend qu’un parti politique est entrain de voir le jour, avec pour promoteurs dans l’ombre, Khaddad Ould Moctar, Abdou Maham, et d’autres personnalités issues de l’Adrar.
Tout ce beau monde roulerait sa bosse pour Zein Ould Zeidane, l’ex-PM controversé, qui a trahi la tout l’Adrar et les Hodhs, pour avoir 16% au premier tour lors des présidentielles de 2007. Mais les mauritaniens vont-ils accepter de se faire encore berner par zinzin ? Mohamed Ould Nouegued, inte vem ?

dimanche 8 mars 2009

Retour de la dépravation des mœurs à Nouakchott.


Depuis ces derniers jours, on assiste à une intense activité de prostitution, et de dépravation des mœurs.
On sait qu’à Nouakchott, comme dans n’importe quelle métropole, il y’a la prostitution, mais elle se fait discrètement, voir clandestinement.
Cependant, ces derniers temps, c’est devenu vraiment une chose publique. Au vu et au su de tous, on voit des femmes faire la queue, devant les chambres d’hôtels et les appartements privés. D’autres font le tour des villas louées pour la circonstance.
Selon nos informations, chaque prostituée reçoit 100 mille ouguiyas, pour 2 heures de temps. Donc, le marché de la prostitution est devenu aussi normal et aussi accepté, que le fait d’acheter des pommes de terre ou des oignions au marché !
Est-ce que cela est acceptable pour un pays musulman comme la Mauritanie, où tout d’un coup, des centaines de femmes vous racolent aujourd’hui, en plein jour pour proposer leur commerce. Nawoudhou Billahi Mine Kadhabi Ellahi !
Les autorités doivent immédiatement arrêter cette activité, certes aussi vieille que l’humanité, mais ce n’est pas une raison de la pratiquer chez nous.
La plupart des clients de ces prostituées, viennent des pays où l’acte de prostitution, est passible de la peine d’exécution.
Où sont nos oulémas, où est le Wali de Nouakchott, où le Président de la Communauté Urbaine de Nouakchott, monsieur Ahmed Hamza, "l’intégriste musulman", Ente vem ? Où est le Ministère des Affaires Islamiques ?
Dans cette galère de prostitution tous azimuts, Taqadoumy s’est taillée la part du lion, en communiquant aux clients les adresses éventuelles des prostituées. Ah, Taqadoumy… ça boite !

Des ex-officiers libérés de l’armée étalent leurs balivernes sur Taqadoumy.

La prostituée électronique, mademoiselle Taqadoumy Mint Boulkhair, copine de Sidioca, de KB, de Amal, de Mohamed et surtout de Abdilly, est entrain de purger une diarrhée 7 baguettes, en publiant, par vomissements épisodiques, ce qu’elle appelle une ENQUETE GRAND FORMAT, sur l’armée mauritanienne. Cela vaut d’abord aux visiteurs de ce site, leur plus gros fou rire de l’année, parce que les informations publiées sur les différents bataillons de l’héroïque armée mauritanienne, datent du 13e siècle avant JC. Taquadoumy est Taakhoury ! N’est-ce pas ? Ley. En effet, quelques anciens officiers radiés du corps en 1989, pour incompétence et diarrhées en pantalons de tenues, pendant les levées de couleurs, envoient à ce site, leurs excréments sur les différents bataillons, dont ils ne connaissent même pas les adresses actuelles. Ces anciens militaires sont devenus taqadoumiens, faute de pouvoir être officiers respectables. C’est déjà mieux pour eux, parce qu’ils ont longtemps séjourné à Tidjikja et à Lemden.
A travers leurs âneries dans Taqadoumy, ils se trahissent en confirmant encore de nouveau leur ignorance de l’institution militaire.
Selon Taqadoumy version arabe, ces ex-éléments de l’armée, aujourd’hui désœuvrés, tiennent des boutiques de vente de téléphones portables au marché Nokta Sakhina, en face de la mosquée saoudienne de Nouakchott.
LTV révélera bientôt leurs noms et pédigrée, et ce ne sera pas du Taqadoumy - grand format. Lol.

vendredi 6 mars 2009

Mohamed Ould Hadi : un officier supérieur au dessus de tout soupçon.


Avant d’être Général et bien avant le HCE, Mohamed Ould Hadi, est connu pour son honnêteté intellectuelle et morale, même pendant les périodes d’exception qu’a connues la Mauritanie, quand il était plus facile, de mettre n’importe quel citoyen en prison, pour n’importe quelle accusation.
Mohamed Ould Hadi n’a jamais pratiqué les faux renseignements, pour faire mal à quelqu’un.
Son objectif a toujours été de protéger les intérêts supérieurs de la Nation. Il était pourtant au BED pendant plusieurs années dépendant directement de la Présidence de la République.
Pendant cette période, l’homme n’a jamais été mêlé à un trafic d’influences quelconque, parce qu’il n’intervenait même pas pour les siens. Ce qui intéressait l’homme, c’est la sécurité extérieure de la patrie mauritanienne.
Grand officier de valeur, le général Ould Hadi sait parfaitement apprécier les hommes de qualité et ne nourrit aucune jalousie contre ses frères d’armes.
A Aoujeft, son fief natal, l’homme est connu et apprécié par tous ces concitoyens.
Mais, cet officier supérieur patriote et intègre, est aujourd’hui l’objet de calomnie et de diffamation, de la part de certains médias électroniques, parce que, tout simplement, il dérange certains milieux mafieux, habitués à s’enrichir grâce au trafic de passeports, et des documents de souveraineté nationale.
Pour avoir dit non à ces criminels qui ne reculent devant rien pour avoir de l’argent facile, Ould Hadi est aujourd’hui la critique croisée de Taqadoumy. Lequel Taqadoumy a beau écrire contre cet officier de talent, mais il en sortira toujours grandi, car il est désormais plus qu’établi que, ce site, est un commérage de balivernes.
Le dernier mensonge taqadoumien est la candidature alléguée, d’un certain Mohamed Ould Limam, au poste de sénateur d’Aoujeft. Alors voyons !
L’intéressé est présent à Nouakchott et il est encore vivant…
Demandez lui, chers internautes, et il vous dira que cette idée de candidature, ne lui est jamais passée par la tête. Quant au voyage du DGSN à Aoujeft, c’est encore du Taqadoumy, l’archi-menteur.
taqadoumy doit savoir que le citoyen lambda sait, aujourd’hui, qu’il est l’instrument des agents étrangers qui cherchent à déstabiliser notre pays mais, ils ne réussiront jamais, parce que, le général Ould Hadi, Directeur Général de la Sûreté Nationale et ses hommes, sont là, pour protéger le peuple mauritanien contre ses ennemis jurés et les convoitises étrangères.
Au fait, messieurs de Taqadoumy, sachez que Ould Hadi n’a pas besoin de faire de la politique à Aoujeft ou ailleurs, pour faire connaître ses talents d’officier supérieur au service de la Nation.
Vous êtes si malhonnêtes dans la diffusion de l’information, que vous tissez très mal votre mensonge. C’est pourquoi d’ailleurs, il y’a aujourd’hui, une diminution significative de vos visiteurs, parce que tout le monde, s’est rendu compte que, vous êtes tout simplement des petits agents traîtres et intoxicants, à la solde de l’étranger.
Seuls des prête-noms nullards comme "Deyloul" et "Ould Mauritanie", vous restent encore fidèles. Mais jusqu’à quand ? Savez-vous que depuis jeudi 05 mars 2009, il y’a une super direction de la presse électronique ? Ley.
Pourquoi ne meublez-vous pas votre temps, avec les informations qui marquent chaque jour la vie des mauritaniens ?
Votre recherche du sensationnel vous a conduit au ridicule ; mais de toute façon, sachez bien que le Général DGSN, n’a pas votre temps. Donc ne comptez pas sur lui, pour qu’il fasse de vous des martyrs de la libre expression ! Le général n’est pas le genre à tomber facilement dans les peaux bananes. Et il se peut d’ailleurs, qu’il ne soit, même pas au courant de l’existence du phénomène que vous êtes. Peut-être...

jeudi 5 mars 2009

Les trois prochains mandants successifs de Mohamed Ould Abdel Aziz ou l’opération vitale d’assainissement de l’Etat mauritanien.


Qu’en déplaise à Messaoud, Ould Maouloud, Boidiel, Bedre Chine, KB et toute la mafia qui a profité de la parenthèse de Sidioca, dans l’ombre, le peuple mauritanien plébiscite déjà son héros, le général Mohamed Ould Abdel Aziz.
Depuis qu’il est à la tête de l’Etat mauritanien, le jeune général a distribué la denrée la plus rare en Mauritanie, à savoir la justice pour tous. Aujourd’hui, que vous soyez riches ou mendiants, vous êtes égaux devant la loi. Ça, c’est un acquis de Mohamed Ould Abdel Aziz, en plus de l’amélioration des conditions de vie du citoyen et la baisse des prix des produits de première nécessité, et même le prix du carburant.
L’eau, synonyme de la vie, est devenue aujourd’hui à la portée de tous depuis le 6 août 2008.
Les grands chantiers, comme la réforme de l’éducation nationale et la couverture sanitaire, sont à la vitesse de croisière. Le général ne promet pas, il agit et vite.
Voilà le programme pour lequel, le peuple mauritanien élira Mohamed Ould Abdel Aziz, pour les trois prochains mandats successifs (deux mandats prévus par la constitution et le troisième sera une exigence du peuple). On ne change pas en effet, un président utile et proche des pauvres, dans un pays pauvre.
Mesdames et messieurs les agents de l’étranger, les jeux sont faits en Mauritanie... Le citoyen mauritanien n’est plus ce qu’il était, parce qu’aujourd’hui, il discerne clairement entre le bien et le mal.
De toute façon, les prochaines élections seront l’occasion pour chacun de montrer son poids et sa popularité. Et comme on dit, dans un proverbe bien de chez nous « Elli Bekkah Aoudou Allah Laskitt ». Taqadoumy, intiya vem ?
LTV sera toujours là, pour contribuer à la bonne transparence des prochaines élections, pour qu’il n’y ait pas de Sidioca II.
En attendant, quand Kadhafi aura démonté sa khaima éjectable, pour entrer à la Jamahiriya (avec ou sans solution pour notre crise soi-disant), Ould Abdel Aziz doit enchainer tous les ROUMOUZ-EL-VESSAD en commençant par Ould Guig (actuel SG du HCE), et les jeter à la mer, coté Terjit vacances.

mardi 3 mars 2009

Scandale : Moghrein violée par des canadiens, sous les regards complices des douanes.


On ne le répétera jamais assez, la mine de Moghrein est violée à ciel ouvert, par des canadiens qui ratissent large à une vitesse de lumière, depuis que la mine leur a été bradée par un émirati pour la modique somme d’un million de dollar (1.000.000 $).

On se souvient que l’émirati Lascar, n’a versé à l’Etat mauritanien que trois cent mille dollars (300.000 $) et reste, à ce jour, redevable de sept cent mille dollars (700.000 $) ; donc la mine ne lui a couté en fait que les trois cent mille dollars et il l’a cédée aux canadiens (MCM) à vingt cinq millions de dollars (25.000.000 $) tout en restant actionnaire. Quelle honte pour le gouvernement mauritanien et la république toute entière, d’être roulés par un émirati ventripotent et lâche ! Il y’a lieu ici de comprendre bien sûr, qu’il y’a dans tout cela, la complicité des intermédiaires mauritaniens, aujourd’hui notables et élus du peuple. Quelle honte encore !

Le Gouvernement du CMJD et son Président Ely Ould Mohamed Vall ont inauguré avec beaucoup de fanfare la fameuse usine de mine de cuivre de Moghrein et sa responsabilité, dans ce viol de Moghrein, est plus qu’établie.

Il est inacceptable de laisser Moghrein à la merci de canadiens violeurs qui ne sont liés à l’Etat par aucun contrat transparent du moins, et qui opèrent sous la bénédiction de la douane et de la banque centrale. Un seul homme n’a pas voulu tremper dans ce scandale de MCM, il s’agit de feu colonel des douanes Ould Limam, décédé suite à un accident de circulation entre Akjoujt et Chinguitti, après avoir claqué la porte de MCM. La vitesse avec laquelle les conteneurs (40 par jours) sont acheminés de Moghrein vers l’Afrique du Sud, via le PANPA, ne laisse aucun doute sur les mauvaises intentions des promoteurs de MCM.

LTV continuera à faire la lumière sur cette affaire, jusqu’à ce que vérité s’en suive…

lundi 2 mars 2009

Crise politique en Mauritanie : l’argent de Kadhafi sauvera-t-il les meubles ?


Décidemment, Tripoli aura été, la capitale de tous les protagonistes de la crise politique en Mauritanie.
Le bal fut ouvert par le général Mohamed Ould Abdel Aziz, chef de l’Etat et président à vie, sauveur de la patrie, timonier de tous les haye es-saken et haye mobiles du pays ! N’en déplaise à tous les voleurs pilleurs de la Nation…
On ne sait pas encore le contenu de l’entretien qu’il a eu avec le roi des rois sous la tente, de la Jamahiriya ; mais, quelles que soient les mesures prises, pour préserver le secret, on saura tout et très prochainement. Comme on dit, lakhbaar tebgue vidar.
Puis, ce fut le tour du leader bien aimé de l’opposition effritée, monsieur Ahmed Ould Daddah, candidat à vie à la présidence de la république.
De son entretien, avec Kadhafi, on sait au moins un secret de polichinelle : le roi des rois fait un tour dans les "péripéties" des uns et des autres, pour cueillir les différentes opinions, des forces en présence.
Sont attendus à Tripoli, dans les heures qui suivent, les caïmans du FNDD, avec une forte délégation dirigée par le kadihine Mohamed Ould Maouloud et comprenant Jemil Ould Mansour, le demi griot, Bedressine, Boidiel le Pantagruel, et le nasserien Teyib, qui prétend être la clé de Kadhafi.
Suivra le hapnol* Messaoud, ex-actuel-président de l’Assemblée Nationale, qui a l’habitude de "hapnoler" Kadhafi à "Tripoli ouvert".
Tout ce vilain monde chapoté par Messaoud, a un dénominateur commun : l’amour des pétrodollars libyens.
Mais Kadhafi n’est pas souvent aussi généreux qu’on le pense. Il ne tient même plus les promesses qu’il fait.
Pauvre Mauritanie qui devient la risée de tout le monde ! Bientôt, les iles Marshales du pacifique, vont s’intéresser à la crise en Mauritanie, pour lui trouver une solution ! Pourquoi pas, elles aussi ?
Avant l’époque des militaires c'est-à-dire avant 1978, la Mauritanie s’occupait de la médiation entre les belligérants en Afrique, dans le monde arabe, partout.
Aujourd’hui, c’est notre pays qui est le sujet de toutes les conversations dans tous les continents. Même le problème de la Cote d’Ivoire a été résolu !
Dommage pour notre pays, jadis trait d’union et symbole de la concorde nationale ! Mais qui est responsable de cette situation ? Ce sont nos hommes politiques eux-mêmes. N’est-ce pas honteux, messieurs les politicards, vous qui cherchez à sauver le pays, alors que vous le conduisez vers le chaos.
Les générations futures, ne vous pardonneront jamais cette avidité du pouvoir, qui a mis la Mauritanie sur le banc des accusés pour un petit problème d’affaire intérieure ! Soyez-en sûrs… Et nous sommes maintenant à la merci de n’importe qui.
En tout cas, on doit se rappeler une chose : Kadhafi commence bien une crise et l’abandonne chemin faisant. Les exemples sont là et très récents d’ailleurs (Darfour, touaregs du Mali, etc.)
Où finira dans tout ça, l’aventure mauritanienne ? A Paris peut-être, mais pas sous la tente de Kadhafi.
On peut dire que dans cette galère honteuse, il y’a le silence assourdissant du président de l’ex-transition théâtrale, qui nous a amené Sidioca et KB, à la présidence. Mais jusqu’à quand le colonel, ex-président du CMJD va-t-il continuer à se taire ? C’est l’occasion ici, pour lui, de dire à Kadhafi, pendant qu’il prie en Mauritanie et pour la Mauritanie, que Sidioca n’est pas véritablement, aussi "démocratiquement élu" qu’on le pense, et que son investiture à la tête de la Magistrature Suprême, était une pièce de théâtre bien jouée ! Aujourd’hui, on doit tirer le rideau sur cette séquence, pour amorcer des nouvelles élections crédibles et transparentes. N’est-ce pas messieurs les protagonistes ? Ne revenez pas en arrière…



*Harnos psychologiquement non libéré

Au secours, l’imam des imams arrive.


Après son auto-intronisation comme roi des rois de l’Afrique traditionnelle, le guide de la Jamahiriya arrive en Mauritanie, pour être imam des imams. Ley.
Il dirigera la prière de Maouloud, pendant le Maghreb et El Ichaa, au stade olympique de Nouakchott.
Mais est-ce que le pays d’un million de fghih et d’érudits, acceptera cela ?
LTV demande à ce sujet, la Fetwa de Beddah Ould El Bousseyri, de Mohamed Salem Ould Addoud, de Hamden Ould Tah et de Ould Dedew, pour savoir si Kadhafi est habilité à diriger une prière.
La question est posée parmi tous les croyants et dans tous les milieux de Nouakchott.
Le poète classique arabe a dit que l’argent peut tout faire (l’éloquence, la beauté, le respect, la force) mais il n’a pas mentionné la religion.
En tout cas, le roi des rois, devenu imam des imams, semble mélanger business, politique et religion. N’est-ce pas un peu farfelu, majesté des majestés ?